On shoulders we stand 'Transcriptions' / David Linx, chant

Audio

Linx, David | Chassy, Guillaume de | Pastorino, Matteo | Rachmaninov, Serge | Schubert, Franz | Bach, Jean-Sébastien | Ravel, Maurice | Chostakovitch, Dimitri | Chopin, Frédéric | Mompou, Frederic | Scriabine, Alexandre

Edité par L'Autre Distribution - 2022

'Nous n'inventons rien totalement ; nous nous tenons sur les épaules des grands créateurs qui nous ont précédés ou de ceux que nous côtoyons aujourd'hui : musiciens, peintres, écrivains... ces géants nous soutiennent et nous inspirent chaque jour'. C'est ainsi que David Linx et Guillaume de Chassy, initiateurs de ce projet, définissent leur démarche commune. Le premier, référence incontournable du Jazz vocal masculin, ancre sa singularité tout autant dans la culture afro-américaine (on se souvient de sa proximité ainsi que de sa collaboration artistique avec James Baldwin) que dans les musiques européennes. Le second, pianiste transfrontalier entre Jazz et Classique (il a côtoyé aussi bien Brigitte Engerer que Paul Motian, André Minvielle et Natalie Dessay) excelle dans l'art de croiser les langages musicaux. Les 8 compositeurs choisis pour ce programme ont laissé des pièces pour piano où l'évidence de la mélodie appelle naturellement le chant. Il était donc tentant de les revêtir de mots et d'en réaliser des transcriptions pour la voix. Artisan des mots, nourri des poésies de Sylvia Plath et James Baldwin, David Linx réalise ici un véritable travail d'orfèvre. Il faut toute sa maîtrise de 'Singer-Songwriter' hors pair, pour s'approprier ces oeuvres avec autant d'aisance. La précision dans l'écriture des textes et la virtuosité vocale rendent possibles le pas de côté que réussit le chanteur. Sans doute, il en déroutera ici plus d'un... Ces musiques constituent la langue maternelle de Guillaume de Chassy, dont les transcriptions ouvrent des espaces de liberté au clarinettiste sarde Matteo Pastorino. Le jeune coreligionnaire de Paolo Fresu y déploie un son et un lyrisme uniques dans le paysage jazzistique européen. Avec 'On shoulders we stand', les trois musiciens se sont lancés un défi de taille, assumant joyeusement une prise de risque devenue rare dans le conformisme ambiant.

Contient
  • Drown out the noise - Serge Rachmaninov
  • Souls astray - Franz Schubert
  • Of mankind, sun and flames - Jean-Sébastien Bach
  • Daunting the task - Maurice Ravel
  • Prelude n° 10, op 87 - Dimitri Chostakovitch
  • A dragon's might - Dimitri Chostakovitch
  • The Very concept of you - Frédéric Chopin
  • The Riptide - Frédéric Mompou
  • New life's at hand - Alexandre Scriabine
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1 -- Drown out the noise
2 -- Souls astray
3 -- Of mankind, sun and flames
4 -- Daunting the task
5 -- Prelude n° 10, op 87
6 -- A dragon's might
7 -- The Very concept of you
8 -- The Riptide
9 -- New life's at hand

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Livre - 2012 - Viviane Élisabeth Fauville / Julia Deck

Disponible à BIBLIOTHEQUE MUNICIPALE

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Biographie

Lou Reed luː ˈɹiːd, né le 2 mars 1942 à Brooklyn (New York) et mort le 27 octobre 2013 à East Hampton (Long Island, New York), est un auteur-compositeur-interprète américain qui a commencé sa carrière avec le groupe Velvet Underground. Il en a été l'un des guitaristes, l'un des chanteurs et le principal auteur des chansons ; il a composé nombre de titres devenus populaires après la séparation du groupe en 1970. Le Velvet Underground a eu une influence majeure sur plusieurs générations de compositeurs, malgré son manque de succès commercial dans les années 1960. On attribue à Brian Eno la remarque selon laquelle les quelques milliers de fans qui ont acheté le premier disque du Velvet Underground ont chacun créé un groupe. Lou Reed et le Velvet Underground, devenus icônes du rock, restent en cela légendaires malgré la confidentialité de leurs débuts. La noirceur des textes et la musique de Lou Reed, au sommet dans l'album Berlin, ont longtemps oblitéré tout succès commercial. La voix en parlé-chanté est une autre « marque de fabrique » de Lou Reed. Lou Reed, « prince de la nuit et des angoisses », comme l'appela Andy Warhol, obtient en solo un réel succès commercial avec le titre Walk on the Wild Side.

Biographie

Lou Reed (2 mars 1942 à Brooklyn, New York - 27 octobre 2013 à Southampton, Long Island, New York) est un artiste américain qui a débuté sa carrière avec le groupe The Velvet Underground. Il y occupait les postes de guitariste, chanteur et a composé nombre de titres restés populaires même après la séparation du groupe en 1970. Le Velvet Underground a influencé plusieurs générations de compositeurs bien que, dans la deuxième moitié des années 1960, seuls quelques fans connurent véritablement The Velvet Underground. On attribue à Brian Eno une réflexion disant que si seulement quelques milliers de fans achetèrent le premier disque du Velvet Underground chacun d'entre eux monta un groupe. C'est en cela sans doute que Lou Reed et son groupe restent aussi légendaires malgré la quasi-inexistence de tubes, contrairement aux autres groupes influents de cette époque. Lou Reed fait partie des icônes du rock même si son succès commercial fut moindre que d'autres artistes qui ont forgé l'histoire du rock comme par exemple Bob Dylan, Bruce Springsteen ou John Lennon. Ses textes et sa musique ont beau être percutants, leur noirceur (qui atteint son apogée dans son album "Berlin") ne leur donne aucun succès commercial. Sa voix en parlé/chanté est une autre marque de fabrique. Lou Reed, prince de la nuit et des angoisses, a pourtant obtenu un réel succès avec son premier tube, une chanson très sombre et osée "Walk on the Wild Side". Jeunesse Lou Reed vit à New York (I'm a New York city man) où il est né de parents aisés : son père est comptable. Il a grandi à Long Island et a été initié au piano dès l’âge de 5 ans. Mais il se passionne pour le rock and roll, le doo wop, la littérature, le jazz moderne et le free jazz en particulier (Don Cherry et Ornette Coleman notamment) et préfère la guitare, qu'il apprend en copiant les disques de sa collection. En 1958, il co-écrit et enregistre "So Blue" dans le style doo wop à la guitare au sein des Jades. À l’âge de 17 ans, il subit le traumatisme de séances d’électrochocs (suggérées à ses parents par un psychiatre) destinées à le « guérir » de ses tendances homosexuelles. Cette expérience dévastatrice sera évoquée dans la chanson "Kill Your Sons" en 1975. Il commence à consommer des traitements rendant très dépendant prescrits à la suite des électrochocs, et cherche à exprimer son traumatisme par des paroles souvent d'une grande radicalité : violence, provocation, insolite, réalisme cru, modernité. Il fera d'ailleurs souvent référence, lors de sa carrière, à ces termes crus, durs et choquants, inspirant ainsi plusieurs de ses bijoux. La noirceur et la profondeur des mots du grand Reed naissent de son vécu immoral des bas quartiers, pauvre, sans papiers. Il suit les cours d'écriture créative de Delmore Schwartz, poète et enseignant de littérature classique, qui l’encourage à écrire à l'université de Syracuse et le marque beaucoup. Il rencontre aussi la belle Shelley, avec qui il a une liaison de deux ans. Elle devient pour Lou Reed, qui l'idéalise, une grande source d'inspiration, même après leur séparation. Après l'université, il travaille en 1964 pour les disques Pickwick en tant qu'auteur compositeur - et parfois interprète. Il y produit des disques de rock imitant les différents styles à la mode pour des compilations à bas prix. Il grave "The Ostrich", une nouvelle danse absurde sur deux accords, où Lou suggère de mettre sa tête au sol et de marcher dessus avec ses propres pieds. La chanson sera à l'origine du terme « guitare Ostrich » qui désigne un accordage de guitare avec les cordes à vide sur la même note. Pour les besoins de la promotion, il cherche des musiciens capables de les jouer sur scène et engage John Cale, un bassiste et altiste gallois de formation classique. Cale enregistre à la basse "You're Driving Me Insane" et "Cycle Annie" chantés par Lou Reed sous le nom des Beachnuts et des Roughnecks pour la compilation Soundsville. The Velvet Underground John Cale, venu étudier aux États-Unis avec une bourse, évolue dans le milieu de l'avant-garde new-yorkaise et joue alors de l'alto dans le Theater of Eternal Music de LaMonte Young. Il cherche à innover, à choquer. Il ne prend Lou Reed au sérieux que quand celui-ci dévoile les paroles de ses titres personnels, et "Heroin" en particulier. Le guitariste Sterling Morrison, un ami de l'université, les rejoint. Ils forment les Warlocks, jouent dans les rues avec une chanteuse, Daryl, puis en 1965 forment le Velvet Underground avec Angus MacLise aux tablas. Ils jouent souvent derrière un écran sur lequel sont projetés des films d'avant-garde à la Cinémathèque de Jonas Mekas, et contribuent ainsi à la musique de plusieurs films amateurs. En décembre, Maureen Tucker remplace McLise pour un premier concert payé organisé par Al Aronowicz. Peu après, ils sont repérés au Café Bizarre par Brigid Polk, une cinéaste marginale qui fréquente l'atelier d'Andy Warhol, un ancien dessinateur publicitaire devenu peintre. Warhol, un homosexuel timide et introverti, connaît alors une grande notoriété avec ses toiles et cherche à se diversifier. Il se présente au Café Bizarre et, avec son associé cinéaste et homme d'affaires Paul Morrissey, décide de devenir le manager du Velvet Underground, qui, fin décembre, vient répéter dans leur atelier, la Factory. Le local est très fréquenté par des artistes et marginaux de l'époque. Warhol leur impose la chanteuse Nico, un mannequin allemand qui, après quelques films (notamment La Dolce Vita de Fellini), un enregistrement avec Serge Gainsbourg en 1962 ("Strip-Tease") et un disque produit par le producteur des Rolling Stones Andrew Oldham ("I'm Not Saying", 1965), a rejoint la cour des miracles de la Factory. Warhol finance l'enregistrement de quelques titres dans un petit studio de New York. Il organise ensuite des spectacles multimédias où il reprend le principe de jouer devant un écran de cinéma, mais y projette ses propres films. L'actrice Edie Sedgwick et le poète Gerard Malanga, un fouet de cuir à la main, participent en dansant sur scène. Le technicien lumières invente littéralement le principe du light-show pour les besoins de l'Exploding Plastic Inevitable, qui après une série de spectacles controversés au Dom de Saint Mark's Place à Manhattan, part jouer au Trip de Los Angeles, qui est définitivement fermé par le sheriff pour pornographie en raison des thèmes sulfureux évoqués par le Velvet Underground : homosexualité, drogue, transsexualité, mort. Ils marquent fortement les Doors, venus les voir jouer. Warhol finance de nouveaux enregistrements, dont la réalisation artistique est assurée par le producteur de Bob Dylan, Tom Wilson, un Afro-américain qui publie l'album sur le label de jazz dont il est directeur artistique, Verve Records. The Velvet Underground and Nico paraît en mars 1967. Andy Warhol est auteur de la couverture du disque, une banane autocollante qui, quand on la décolle, révèle un fruit à la la chair rose à côté de la mention « Produced by Andy Warhol ». Nico y interprète trois chansons : "All Tomorrow's Parties", "Femme Fatale" et "I'll Be Your Mirror". Lou Reed utilise sur "Venus in Furs" et "All Tomorrow's Parties" son accordage Ostrich. L'album contient des compositions marquantes, comme "I'm Waiting for the Man", "Heroin", "European Son", "Sunday Morning". La réalisation, plutôt bâclée, montre que l'impulsion peut avoir plus d'importance que la finition, et sera une grande inspiration pour le mouvement punk dont cet album est la première pierre fondatrice. L'album choque et n'a aucun succès. Un deuxième album paraît en décembre 1967, White Light/White Heat, également ignoré à sa sortie sauf d’une poignée de fans. Le groupe atteint un des sommets de sa créativité débridée dans le morceau "Sister Ray", réalisé en une seule prise de dix-sept minutes. John Cale quitte peu après le groupe et est remplacé par Doug Yule. Ce dernier participe aux deux albums suivants du groupe : The Velvet Underground (1969) et Loaded (1970). Avant la sortie de Loaded, Lou Reed quitte le Velvet Underground et la musique pour se retirer chez ses parents jusqu’à la fin 1971. Carrière solo Le producteur Richard Robinson et sa femme Lisa ("Lisa Says") persuadent Lou Reed de revenir à la musique et d’enregistrer en Angleterre un album, auquel participent deux musiciens du groupe Yes, Steve Howe et Rick Wakeman. Le disque s’appelle Lou Reed et paraît en 1972 chez RCA. Bien que comprenant de bonnes chansons ("I Can't Stand It", "Berlin", "Ocean") composées à l’époque du Velvet Underground, l’album déçoit et ne rencontre pas le succès escompté. Cependant, la même année, avec l’album Transformer, produit par les anglais David Bowie et Mick Ronson, Lou Reed accède enfin au succès auprès du grand public avec la chanson "Walk on the Wild Side", qui traite du thème de l’homosexualité et de la vie dans certains quartiers de New York. Il y décrit l’itinéraire de personnages new-yorkais qu’il a connus à l'époque de la Factory, qui plongent dans la déchéance à travers notamment la prise de drogues. En produisant cet album, David Bowie rend hommage à Lou Reed qu’il considérait comme une de ses idoles et surtout comme une source d’inspiration depuis les années Velvet. L'apogée artistique de Lou Reed sans le Velvet Underground se situe entre 1972 et 1976, avec les albums Berlin (1973) et Coney Island Baby qu'il sort après l'échec fracassant de Metal Machine Music (1975), sorte de projet expérimental de musique industrielle, aujour'hui, encore, précurseur mais toujours aussi inaudible . Ensuite sa discographie recèle des albums qui n’atteindront plus jamais ces hauteurs. Il cherche ses repères avec des albums importants mais déroutants tels que Rock'n Roll heart en 1977, Street Hassle en 1978 et en 1982 The Blue Mask. Plusieurs albums live enrichissent sa discographie dont Rock'n Roll Animal paru en 1974 et Lou Reed live, en 1975, qui figurent parmi les meilleurs disques de live du rock et le très drôle Take No Prisoners de 1978. En 1985, il participe à l'album Sun City contre l'Apartheid à l'initiative de Steven van Zandt. Il a fait l'excellent Live in london de 1998, avec des versions très intéressantes de ses premiers titres , "I'll be your mirror", ou encore de morceaux plus récents comme "Sex with your parents" (traitant de l'hypocrisie de certains politiques américains). Lou Reed est accompagné dans ce concert par Mike Rathke, qui lui avait insufflé ce nouvel élan avec New York, où il adopta le parlé chanté. En 1989, Lou Reed refait surface avec un album très réussi : New York. À travers cet album dédié à sa ville, au son brut et dépouillé, Lou Reed adopte le « parlé chanté », à travers des textes engagés traitant par exemple du sida ("The Halloween Parade") et de l’exclusion sociale ("Dirty Boulevard"). Il y décrit les bas fonds new-yorkais, image des excès du monde moderne sur une musique incisive. En 1990, paraît un très bel album en hommage à Andy Warhol Songs For Drella, qu'il compose et chante en compagnie de John Cale, son ancien complice du Velvet Underground. Le groupe légendaire se reforme le 15 juin 1989, le temps d’un concert inopiné lors d’une rétrospective Warhol à Jouy-en-Josas, puis en 1993 pour une série de concerts . Ensuite, Lou Reed signe deux albums qui sont des réussites artistiques Magic and Loss (1992 ) qui traite de la perte des proches et Set the Twilight Reeling ( 1996), dans lequel il rappelle son attachement à New York. Enfin, l'album Ecstacy voit le jour en 2000, disque à la langueur hypnotique. Son dernier album s'intitule The Raven, référence décadente et post-punk à Edgar Allan Poe. Il y reprend deux vieux titres ("The Bed" et "Perfect Day"), avec David Bowie chantant (Hop Frog) et récite un poème (Le corbeau - The Raven - de Poe). Cet album est original mais très éloigné du grand public qu'il a du mal à convaincre. Le 25 avril 2008, le New York Post révèle qu'il aurait épousé en secret sa compagne depuis le milieu des années 1990, l'artiste expérimentale Laurie Anderson, dans le Colorado le 12 avril dernier. Lou Reed a aussi publié deux volumes regroupant ses œuvres photographiques, "Emotion in action" et "Lou Reed's New York". Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.

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