... And star power / Foxygen

Audio

Foxygen

Edité par Jagjaguwar - 2014

Le succès phénoménal de leur premier album "We are the 21st century ambassadors of peace & magic" fit de l'année 2013 une période très chaotique pour le groupe Foxygen, soudainement propulsé au sommet. Après une sérieuse vague de turbulences, les deux amis ont toutefois pu trouver fin 2013 un sanctuaire propice à l'écriture et à la composition dans leur nouveau studio sur les hauteurs de Los Angeles. Ils s'y sont enfermés, n'ont cessé d'écrire ensemble. Le résultat de ces retrouvailles est une aventure auditive sensationnelle de 82 minutes au travers de délices soft-rock, de sonorités folks psychédéliques, et de fantaisies de dessin animé.

Contient
  • Star power airlines, How can you really, Coulda been my love, Cosmic vibrations, You & I, Star power I : overture, Star power II : star power nite, Star power III : what are we good for, Star power IV : ooh ooh, I don't have anything - The gate, Mattress warehouse, 666, Flowers, Wally's farm, Cannibal holocaust, Hot summer, Can't contextualize my mind, The game, Freedom II, Talk, Hang
  • Everyone needs love/ Foxygen & Flaming Lips
  • Cold winter - Freedom/ Foxygen & Of Montreal
  • Brooklyn police station/ Foxygen & White Fence
1 exemplaire disponible

Plus d'infos

Se procurer le document

Pour réserver un exemplaire, il est nécessaire d'être authentifié. Les réservations dépendent de votre abonnement en cours.

Livre - 2007 - Dusk : intégrale / dessin de Christian de Metter

Disponible à BIBLIOTHEQUE MUNICIPALE

Adulte | +1 BD & mangas | BD MAR dusk | BANDES DESSINEES | En rayon

Suggestions

Du même auteur

We are the 21st century ambassadors of peace & magic / Foxygen | Foxygen

We are the 21st century ambassadors of peace ...

Audio | Foxygen | 2013

Ceux qui ont emprunté ont aussi emprunté

We are the 21st century ambassadors of peace & magic / Foxygen | Foxygen

We are the 21st century ambassadors of peace ...

Audio | Foxygen | 2013

I love you, honeybear / Father John Misty | Father John Misty

I love you, honeybear / Father John Misty

Audio | Father John Misty | 2015

Après un premier album solo sorti en 2012, "Fear Fun", l'ex-Fleet Foxes revient avec "I love you, honeybear". Le résultat est à la hauteur de toutes les espérances : folk, oui, quoique plus pop que son prédécesseur, mais toujours ...

En savoir plus

Biographie

L'ambiance y est informelle, et le prince traite ses musiciens comme ses égaux. Il les emmène à Carlsbad (devenue Karlovy Vary en République tchèque) pour prendre les bains, et il joue souvent avec eux, parfois même chez Bach lorsque sa mère, Gisela Agnes, s'irrite de la présence perpétuelle de l'orchestre au palais. Son poste offre à Bach un certain confort matériel, avec une dotation de 400 thalers par an{{sfn|Marcel|1961|p=76}}. Le prince Léopold est par ailleurs le parrain de Léopold Augustus Bach, le dernier enfant de Maria Barbara. Cette période heureuse est propice à l'écriture de ses plus grandes œuvres instrumentales pour luth, flûte, violon (Sonates et partitas pour violon seul), clavecin (premier livre du « Clavier bien tempéré »), violoncelle (Suites pour violoncelle seul), Six concertos brandebourgeois, et probablement la (dont la célèbre Aria ou Air sur la corde de sol de son {{2e mouvement}}, appelé « Air de Jean-Sébastien Bach »). Mais sa femme, Maria Barbara, meurt le 7 juillet 1720{{sfn|du Bouchet|1991|p=77}}, et cet événement le marque profondément. Il en est d'autant plus bouleversé qu'il n'apprend la mort et l'enterrement de son épouse qu'à son retour de Dresde. Il se remarie un an et demi plus tard avec Anna Magdalena Wilcke, fille d'un grand musicien et prima donna de la cour de Köthen{{sfn|du Bouchet|1991|p=84}},. Il songe à quitter cet endroit rempli de souvenirs à la recherche d'une ville universitaire pour les études supérieures de ses enfants, d'autant qu'il ne peut composer de musique sacrée dans une cour calviniste. De plus, le prince se remarie en 1721, et sa deuxième épouse semble être eine amusa, selon le dire de Bach, c’est-à-dire peu sensible aux arts en général, et en détourne son mari. Parallèlement, le prince doit contribuer davantage aux dépenses militaires prussiennes{{sfn|du Bouchet|1991|p=85}}. Bach cherche un nouvel emploi. En 1720, à la Katharinenkirche de Hambourg, il donne un concert très remarqué, en particulier par Johann Adam Reinken, très âgé{{sfn|Dowley|1990|p=44}}, et se voit presque proposer un poste. Il rassemble un recueil de ses meilleures œuvres concertantes (les six concertos brandebourgeois), et les envoie au margrave de Brandebourg qui lui avait marqué un certain intérêt deux ans auparavant. Il postule à Leipzig, où le poste de cantor est vacant et lui offrirait une plus grande renommée dans le Saint-Empire, mais aussi en Pologne et en France : le prince-électeur de Saxe est roi de Pologne et a fréquenté la cour de Versailles, avec laquelle il garde de bonnes relations. Il obtient le poste de cantor de Leipzig, succédant à Johann Kuhnau, fonction pourtant d'un rang inférieur à celle de Kapellmeister qu'il occupait auprès du prince. C'est peu après sa nomination, alors qu'il est encore à Köthen, qu'il compose la Passion selon saint Jean destinée à l'église Saint-Thomas de Leipzig. Cette ville de commerce n'a pas d'orchestre de cour et l'opéra y a fermé ses portes, sa femme doit abandonner sa carrière de cantatrice. Elle l'aide alors dans ses travaux de copie et de transcription.

Artistes similaires