"When the Moon" : songs sets for orchestra / Charles Ives

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Ives, Charles

Edité par Decca - 2000

Contient
  • [Sets 1-3, pour orchestre], [Set, pour Théâtre et orchestre], [Set n°5, "The Other side of pioneering"], [set n°6, "From the side hill"], [Set n°7, "Water colors"], [16 Songs, pour voix et piano]
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Livre - 2020 - Copain de l'écologie : Prenons soin de la Terre / Angélique Le Touze, Anne Lesterlin

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Jeunesse | -1 Documentaires (dès 9 ans) | 363 LES | LIVRES | En rayon

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Biographie

Giacomo Meyerbeer, de son vrai nom Jakob Liebmann Meyer Beer, est un compositeur prussien de confession juive né le {{Date de naissance|5 septembre 1791|en musique classique}} à Tasdorf, près de Berlin, et mort le {{Date de décès|2 mai 1864|en musique classique}} dans le 8e arrondissement de Paris[https://archives.paris.fr/arkotheque/visionneuse/visionneuse.php?arko=YTo2OntzOjQ6ImRhdGUiO3M6MTA6IjIwMjItMDktMTQiO3M6MTA6InR5cGVfZm9uZHMiO3M6MTE6ImFya29fc2VyaWVsIjtzOjQ6InJlZjEiO2k6NDtzOjQ6InJlZjIiO2k6MjAzNjI1O3M6MTY6InZpc2lvbm5ldXNlX2h0bWwiO2I6MTtzOjIxOiJ2aXNpb25uZXVzZV9odG1sX21vZGUiO3M6NDoicHJvZCI7fQ

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Biographie

Giacomo Meyerbeer (né à Berlin le 5 septembre 1791 et mort à Paris le 2 mai 1864), de son vrai nom Jakob Liebmann Beer, est un compositeur allemand dont les œuvres sont considérées comme fondatrices du Grand Opéra français. Né dans une riche famille berlinoise au contact avec l'élite intellectuelle, il a deux frères : l'astronome Wilhelm Beer, et le poète Michael Beer. À l'âge de 19 ans il ajoute à son nom celui de son bienfaiteur1 et italianisera ensuite son prénom. Bénéficiant d'une large éducation, il apprend très tôt le piano avec Franz Seraphinus Lauska et Muzio Clementi, joue en public dès l'âge de 7 ou 8 ans et acquiert très vite une réputation de pianiste brillant. Il étudie ensuite la composition avec Carl Friedrich Zelter (professeur de Felix Mendelssohn), Bernhard Anselm Weber et enfin avec l’abbé Vogler, qui achève de le former et chez lequel il a pour compagnon d’étude Carl Maria von Weber. Dès 1810, il écrit ses premiers opéras allemands (Der Fischer und das Milchmädchen, un oratorio Gott und die Natur, un opéra biblique Jephtas Gelübde et un singspiel Wirth und Gast) qui n'obtiennent aucun succès à Berlin comme à Vienne. Il se rend à Paris puis à Londres et, en 1816, sans doute sur les conseils d'Antonio Salieri, en Italie où il a la révélation de sa vocation en entendant le Tancredi de Gioachino Rossini. Il écrit là six opéras italiens dont une cantate pastorale, Gli amori di Teolinda, puis les opéras qui lui assurent de plus en plus de succès : Romilda e Costanza, Semeramide riconosciuta, Emma di Resburgo, Margherita d'Anjou, L'esule di Granata, et enfin, Il Crociato in Egitto (1824) qui, représenté à Paris après Venise, lui assure la célébrité dans toute l’Europe. Il s’installe alors à Paris en 1825, où il préfère suivre Rossini plutôt que de rester en Italie sans celui qu'il considère comme son maître, et où il bénéficie de la protection de Luigi Cherubini. En 1827 Meyerbeer commence une fructueuse collaboration avec le librettiste Eugène Scribe. Leur première œuvre commune, Robert le Diable, est créée à l'Opéra en 1831 où il est l'« un des plus grands triomphes de tous les temps2 ». Après La Muette de Portici de Daniel-François-Esprit Auber et le Guillaume Tell de Rossini, cette œuvre pose les bases de ce qui deviendra le « grand opéra », nouveau genre dans lequel nombre de compositeurs se sentent désormais obligés de faire leurs preuves. La consécration passe en effet désormais par Paris où Donizetti, Verdi et même Wagner chercheront à briller à l'égal de Meyerbeer. Après son ultime opéra, Rossini se retire laissant le champ libre au succès de Meyerbeer. Cinq ans plus tard (perfectionniste, le compositeur allemand n'avait pas la facilité de gestation de son maître italien), Les Huguenots remportent un triomphe encore plus absolu. En 1842 il accepte pourtant de prendre la suite de Gaspare Spontini à la direction de l'opéra de Berlin. Il écrit Ein Feldlager in Schlesien (créé par Jenny Lind en 1844), monte Rienzi et Der Fliegende Holländer mais, « médiocre chef d'orchestre3 », et trop éloigné désormais du goût allemand, il ne s'éternise pas dans la capitale prussienne et retourne à Paris après avoir donné Ein Feldlager à Vienne en 1847. Nouveau triomphe dans la capitale française avec Le Prophète (dernier volet de la trilogie) en 1849 que le musicien a composé pour Pauline Viardot. Il crée pour l'Opéra-Comique deux œuvres de facture différente : L'Étoile du Nord (réutilisant la musique de Ein Feldlager) en 1854 et Le Pardon de Ploërmel en 1859 qui rencontrent un succès cependant moins éclatant que ses précédents triomphes. Il reprend alors une partition commencée avant son départ pour Berlin, L'Africaine, mais meurt avant sa création, à titre posthume, en 1865. Meyerbeer a donc fixé pour longtemps les canons du « grand opéra » et s’est assuré tout au long de sa carrière la prééminence dans ce genre : le jeune Wagner l’imitera servilement avant de s’en affranchir4 ; Verdi lui-même devra se soumettre aux règles dramatiques qu’il avait fixées, lorsqu’il écrira pour Paris. La carrière française du compositeur, seulement interrompue par le séjour malheureux de Berlin, fait montre d’une remarquable longévité. Bien que célèbre dans toute l'Europe dès les années 1830, sa renommée, après sa mort, fut très rapidement éclipsée, en particulier par Wagner, et ses œuvres ont peu à peu disparu du répertoire. Le disque et quelques rares reprises ont cependant évité à ses œuvres de tomber dans l'oubli, et permis au public moderne de mieux prendre la mesure de son importance dans l’évolution des procédés dramatiques et dans l’histoire de l’opéra. Il utilise souvent le principe du leitmotiv, qui a été perfectionné par Wagner. Parmi les traits dominants du grand opéra conçu par Meyerbeer, le plus remarquable est sans doute la place faite aux interprètes. Dans toute son œuvre, le choix de ces derniers est capital et même déterminant pour l’élaboration du livret. Le compositeur consacrait la plupart de ses voyages à l’audition de nouveaux chanteurs, et si l’un de ceux qu’il avait engagés rompait son contrat, il n’hésitait pas à remanier le rôle concerné pour l’adapter au nouvel interprète, voire à interrompre son travail sur un opéra si aucun acteur ne lui paraissait convenir. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.

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