0 avis
Grand prix / Benjamin Biolay
Audio
Edité par Universal Music France S.a - 2020
Benjamin Biolay revient illuminer l'été 2020. Avec un grandiose neuvième album, Grand Prix, Benjamin Biolay perpétue son savoir-faire mélodique, sa science harmonique et sa richesse lexicale. Le chanteur stakhanoviste trouve ici le point d'équilibre idéal entre paroles et musique, tubes et ballades, références et clins d'oeil. Un nouveau répertoire gorgé de mélodies imparables, de refrains entêtants, de textes définitifs et d'arrangements audacieux.
- Contient
- Comment est ta peine?
- Visage pâle
- Idéogrammes
- Comme une voiture volée
- Vendredi 12
- Grand prix
- Papillon noir
- Ma route
- Virtual safety car
- Où est passée la tendresse?
- Roue tourne (La)
- Souviens-toi l'été dernier
- Interlagos - saudade
Ecouter les fichiers audio
Se procurer le document
Autre format
Issus de la même oeuvre
En savoir plus
Biographie
Biographie

Giacinto Scelsi est né à La Spezia le 8 janvier 1905 et mort à Rome le 9 août 1988. Issu de la noblesse italienne, il étudie d'abord à Rome puis à Vienne avec un élève de Schönberg. Il est avant 1940 le premier adepte italien du dodécaphonisme, bien avant Luigi Dallapiccola. Il traverse à la fin des années 40 une grande crise morale où il remet en question toutes ses compositions antérieures. Il fait alors plusieurs voyages en Orient où il en découvre la spiritualité. Après de nombreux séjours en Europe, il se fixe définitivement à Rome où il travaille de manière solitaire et devient de manière tardive l'un des acteurs majeurs du post sérialisme. Imprégné de culture orientale, Scelsi se voulait avant tout un messager, "un facteur" s'amusait-il à dire. Le message venant de plus haut. En outre, il refusait de se faire photographier. Son œuvre eut une grande influence sur les musiciens de l'Itinéraire : Tristan Murail, Gérard Grisey, Michaël Levinas et Solange Ancona, que Scelsi a pu rencontrer lors de leur passsage par la Villa Médicis au début des années 70. Il a écrit plus de 150 pièces musicales. Ses œuvres les plus marquantes sont postérieures à 1950 et se caractérisent par une focalisation sur le son, souvent monodique, ou sous forme de cluster instrumental ou vocal, jouant sur les micro-intervalles ou la granulation des articulations. C'est avec les Quattro pezzi su una nota sola (1959) que cette nouvelle conception de la musique et du son prend sa forme la plus aboutie. Chacune de ces quatre pièces est basée sur une unique note jouée par un orchestre de chambre, se déclinant sur des temps et des attaques variées. Ses œuvres orchestrales de la maturité se caractérisent par l'utilisation prépondérante de cuivres et de percussion, même si les cordes, parfois, conservent un rôle important. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.