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Peau d'homme / Hubert, Zanzim
Livre
Edité par Glénat - 2020
Sans contrefaçon, je suis un garçon ! Dans l'Italie de la Renaissance, Bianca, demoiselle de bonne famille, est en âge de se marier. Ses parents lui trouvent un fiancé à leur goût : Giovanni, un riche marchand, jeune et plaisant. Le mariage semble devoir se dérouler sous les meilleurs auspices même si Bianca ne peut cacher sa déception de devoir épouser un homme dont elle ignore tout. Mais c'était sans connaître le secret détenu et légué par les femmes de sa famille depuis des générations : une "peau d'homme" ! En la revêtant, Bianca devient Lorenzo et bénéficie de tous les attributs d'un jeune homme à la beauté stupéfiante. Elle peut désormais visiter incognito le monde des hommes et apprendre à connaître son fiancé dans son milieu naturel. Mais dans sa peau d'homme, Bianca s'affranchit des limites imposées aux femmes et découvre l'amour et la sexualité. La morale de la Renaissance agit alors en miroir de celle de notre siècle et pose plusieurs questions : pourquoi les femmes devraient-elles avoir une sexualité différente de celle des hommes ? Pourquoi leur plaisir et leur liberté devraient-ils faire l'objet de mépris et de coercition ? Comment enfin la morale peut-elle être l'instrument d'une domination à la fois sévère et inconsciente ? A travers une fable enlevée et subtile comme une comédie de Billy Wilder, Hubert et Zanzim questionnent avec brio notre rapport au genre et à la sexualité... mais pas que. En mêlant ainsi la religion et le sexe, la morale et l'humour, la noblesse et le franc-parler, Peau d'homme nous invite tant à la libération des moeurs qu'à la quête folle et ardente de l'amour.
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Livre - 2018 - Nos vies / Marie-Hélène Lafon
Disponible à BIBLIOTHEQUE MUNICIPALE
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Biographie

De sa voix enveloppante, Karen Lano se balade comme une Judy Collins dans un film de Tim Burton. Entre pop, folk et jazz, elle écrit, compose et invente des histoires caressantes d’ombres et de lumières, à mi-chemin du cinéma d’une Jane Campion, des contes de Grimm ou du Magicien d’Oz. Karen Lano est née il y a une trentaine d’années d’un père français pianiste et d’une mère germano-hongroise. Malgré une éducation de ses oreilles enfantines aux sons des Beatles, Stones, Elvis et autre Simon & Garfunkel, ses premières grandes émotions passent par le cinéma et plus Particulièrement les comédies musicales, des grands classiques comme Chantons sous la pluie, Une étoile est née jusqu’aux opéras rock The Rocky horror picture show ou encore Phantom of the Paradise… Les BO et compilations encombrent le bureau des devoirs scolaires de sa chambre. L’âge rebelle aidant, les posters des groupes de la vague rock de Seattle comme Pearl Jam, Alice in Chains, Soundgarden, Nirvana, ou encore Metallica, Guns‘n Roses, ou pour le blues-rock les Stones, AC/DC et Aerosmith, côtoient ceux de Gene kelly et Judy Garland. C’est à 20 ans que Karen franchit le pas en intégrant le groupe de rock Khâ, composé d’amis lycéens, au poste de choriste puis chanteuse attitrée du groupe. Très vite, elle signera les textes et mélodies du groupe. Avide d’exploration des genres, elle s’initie aux musiques afro-américaines, jazz, blues, gospel, soul…, Royaume des belles mélodies et des grands chanteurs. "J’avais et j’ai toujours une réelle attirance pour cette musique de Karen Lano l’âme, en particulier le jazz. Je me suis mise à écouter cette musique avec beaucoup d’attention et de modestie, essayant de me faire ma propre culture. J’étais fascinée par le fait que bien qu’étant plus complexe harmoniquement, elle offrait une liberté d’expression d’autant plus grande, une spontanéité de jeu, une prise de risque". Les grands du jazz prennent place dans sa discothèque aux côté, d’autres chocs musicaux de la pop rock : Jeff Buckley, Kate Bush, Rufus Wainwright, mais aussi Serge Gainsbourg, Arthur H, Camille, Jeanne Cherhal ou Barbara… L’écriture continue d’avoir la part belle pendant ces années de découverte, mais elle le fait pour d’autres, au travers d’un projet ou d’une collaboration. Parallèlement, Elle se produit dans les clubs au sein d’un trio de jazz avec lequel elle éprouve des standards. Une rencontre va changer la donne. "Je connaissais Daniel Yvinec car mon ami nous avait présentés. Il savait que je chantais mais ne m’avait jamais entendue. A l’occasion d’une jam à la fin d’un concert, nous avons joué un morceau ensemble. Comme je n’étais venue qu’avec une seule partition, nous nous sommes revus pour en jouer d’autres. Je lui ai demandé s’il voulait bien m’aider à réaliser ma première maquette. Notre collaboration à commencé ! " En Juin 2006, accompagnée de Seb Martel (guitare), Eric Lohrer (guitare), Laurent Paris (percussions), et bien sûr Daniel Yvinec (contrebasse), elle enregistre une maquette de reprises pop et de standards. La « galette » circule et commence à être diffusée sur Fip (Jazz à Fip notamment). Le duo contrebasse/voix sur "Highway to Hell" de AC/DC est retenu pour la compil Nova "When Jazz meets Pop" sortie en octobre 2007. Une vraie complicité artistique s’installe alors entre Karen et Yvinec. Il n’hésite pas à la faire venir pour sa création de Old wine, new bottle au festival Jazz Sous Les Pommiers de Coutances au printemps 2007 et réitère au sein de l’Orchestre National de Jazz pour le projet Broadway in Satin, une relecture des chansons de Billie Holiday. Depuis plusieurs mois, Karen travaille son premier album. "Je suis partie dans la maison de ma grand-mère en Allemagne, dans un village en Bavière bordé par les bois. Les chansons sont arrivées en une quinzaine de jours. Quant aux reprises, j’ai connu You were meant for me dans la comédie musicale Chantons sous la pluie. C’est Gene Kelly qui la chante. j’ai dû regarder 150 fois cette comédie étant petite. "Heart of Saturday night" et "Don’t let it bring you down",Tom Waits et Neil Young, un univers incroyable pour chacun de ces songwriters… Puis je suis partie en compagnie de Daniel à New York pour collaborer avec Michael Leonhart, trompettiste, arrangeur, auteur, compositeur, bref, multi et grand instrumentiste talentueux. Tous les trois, enfermés dans son petit studio, nous avons fait le disque en posant une base voix/contrebasse, voix/Wurlitzer ou piano, et en habillant les chansons de tous les instruments mis à disposition". Apparaissent ici et là un grincement de chaise, une respiration, une méthode qui laisse une liberté totale. Un disque vivant né dans la plus grande spontanéité pour une personnalité sensible et rare. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.
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Avis des lecteurs
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Mme BREMOND SARAH - Le 29 décembre 2022 à 13:43