Intrigo : mort d'un auteur

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Alfredson, Daniel (Réalisateur)

Premier volet de la trilogie Intrigo.

Dans sa villa perdue sur une île grecque, le célèbre romancier Alex Henderson reçoit David Schwarz, apprenti écrivain venu chercher les conseils du maître. David commence à lui lire des passages du livre qu'il aimerait publier. Il y est question d'un écrivain à qui la femme apprend qu'elle le quitte pour un autre. Henderson soupçonne qu'il s'agit de David. Celui-ci a été chargé par son éditeur de traduire un manuscrit de l'auteur réputé Germund Rein. Avec le manuscrit, il a également reçu une lettre dans laquelle Rein indique que le livre ne peut pas être publié dans sa langue d'origine. David se met au travail et se rend vite compte que Rein s'est apparemment tué. C'est alors qu'il découvre dans le roman des parallèles étranges avec sa propre vie, y compris sa femme disparue, Eva.

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Biographie

Alan Stivell, né Alain Cochevelou le 6 janvier 1944 à Riom (Puy-de-Dôme), est un auteur-compositeur-interprète et musicien français d'origine bretonne. Il milite pour faire admettre le peuple breton avec sa langue, sa culture, son territoire. Il est, avant tout, multi-instrumentiste : harpe celtique principalement, mais aussi piano et claviers, flûte irlandaise, bombarde, cornemuse écossaise, voire percussions. Il est également chanteur et auteur (en plusieurs langues). Dès les années 1950, grâce au travail de son père Georges Cochevelou, Alan Stivell fait, avec lui, renaître la harpe celtique de Bretagne, ceci par des récitals depuis 1953. À partir de 1966, Alan Stivell est le premier chanteur breton professionnel utilisant principalement la langue bretonne (brezhoneg). Héritier du premier renouveau musical breton (qui avait vu la création des bagadoù), inspiré par le rock et le {{langue|en|folk-song}} anglo-saxons, il nourrit le mouvement folk et folk rock français et celtique des années 1960 et 1970. Alan Stivell révolutionne la musique bretonne en y incorporant principalement des influences gaéliques et anglo-saxonnes, sans oublier celle de la musique classique d'hier et aujourd'hui, conjointe à son ouverture à celle des autres continents. Il y apporte aussi les innovations techniques de la fin du XX. À l'époque, d'autres interprètes bretons s'expriment déjà, mais, à part Glenmor, ils n'entrent pas dans le professionnalisme et leur modernisme ne s’aventure pas au-delà de la guitare classique (à une exception près). Il est le premier à vraiment l'électrifier. À la fois sur les plans technologiques et musicaux, il montre un extrême éclectisme : en dehors des genres déjà cités, il fait appel à des touches électro (dès 1979) et hip-hop (1993) qu’il introduit lui-même aussi dans la musique bretonne. Il imagine, dessine et fait réaliser ses propres projets de harpes celtiques électroacoustiques et électriques. Il popularise la Bretagne et sa musique, par son travail artistique et ses grandes tournées internationales, par la communication mais aussi par l'effet boule de neige suscité par ses nombreux émules. À l'origine du sursaut que connaissent la langue bretonne et la fierté du peuple breton, il aura ouvert la voie à divers artistes et sera devenu un modèle pour d'autres pays et d'autres cultures. Son œuvre musicale est liée à un combat pour la reconnaissance des cultures bretonne et celtique. Il ne le conçoit pas sans la transmission de messages humanistes et de fraternité, au-delà des frontières. Cet esprit d'ouverture se traduit dès ses débuts par des métissages culturels et des fusions musicales, ce qui en fait l'un des précurseurs de la {{langue|en|world music}}, qu'il définit clairement sur son premier album Reflets en 1970. C’est à la fois la quête d'une « musique globale », dans l'espace et le temps, et l'affirmation d'un panceltisme, en même temps qu’une vision égalitariste de la personne humaine (Human~Kelt).

Biographie

Alan Stivell (né le 6 janvier 1944 à Riom) est un auteur-compositeur-interprète et musicien breton, d’expression celtique à laquelle s'ajoutent le français, l'anglais et d'autres langues. Il est à la base de la renaissance de la harpe celtique et de la musique bretonne moderne. Sa musique est très ouverte sur le monde, sur la Celtie et s'appuie sur des formes musicales originales. Son œuvre musicale se double d’un combat pour la reconnaissance de la culture celtique et pour une plus grande fraternité entre les humains. Sa personnalité et son travail ont joué un rôle de premier plan dans la popularisation de la musique celtique en Bretagne et dans le monde. Ce premier rôle est d'abord chronologique : à ses débuts, il n'y a qu’un seul chanteur breton, Glenmor, qui chante ses propres compositions. Au contraire, Alan Stivell se rend d'abord surtout célèbre pour son travail sur le répertoire traditionnel, même si son œuvre est dès le départ extraordinairement multiple dans la variété unique de ses arrangements mais également de ses créations ; à cela s'est ajouté une capacité à communiquer sa passion, grâce à laquelle il a suscité la vocation (directe ou indirecte) des artistes bretons actuels (hormis Gilles Servat, plutôt héritier de Glenmor). Sa musique est devenue universelle par sa notoriété, mais aussi par sa modernité et ses influences les plus éclectiques. Depuis le début, il n’a de cesse de se produire sur scène partout dans le monde et de proposer une discographie originale. De son vrai nom Alan Cochevelou, il est issu de l’émigration bretonne comme près de la moitié des Bretons : sa famille est originaire de Gourin et Pontivy dans le Morbihan, en Bretagne, mais il est né à Riom, (département du Puy-de-Dôme, dans la région Auvergne, en France), où il vécut quelques mois avant de passer sa jeunesse à Paris, hormis ses fréquents séjours en Bretagne. Son pseudonyme Stivell signifie en breton « source jaillissante » ; il dérive d'une des étymologies de son nom (kozh stivelloù, les vieilles sources). Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.

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