Les sept divinités du bonheur / Keigo Higashino

Livre

Higashino, Keigo (1958-....). Auteur

Edité par Actes Sud Editions. Arles cedex - 2022

Aoyagi Takeaki, un homme d'une cinquantaine d'années, est assassiné au pied de la statue du dragon ailé qui orne le pont de Nihonbashi, à Tokyo. Dans ce roman qui traite d'un aspect sombre du Japon, le statut des précaires, Kaga fait preuve de la même perspicacité et du même humanisme que dans Les Doigts rouges et Le Nouveau. Le lecteur retrouve l'ambiance propre à Higashino, à la fois calme et pleine de rebondissements, mais surtout profondément morale. Il ne s'agit pas seulement de résoudre une énigme, mais d'en comprendre tous les tenants et aboutissants, afin d'opérer une catharsis.

Voir la collection «Actes noirs»

Autres documents dans la collection «Actes noirs»

Classification
Romans policiers
1 exemplaire disponible

Plus d'infos

Se procurer le document

Pour réserver un exemplaire, il est nécessaire d'être authentifié. Les réservations dépendent de votre abonnement en cours.

Livre - 2021 - Voix d'extinction : roman / Sophie Hénaff

Disponible à BIBLIOTHEQUE MUNICIPALE

Adulte | +1 Fiction & littérature | R HEN | LIVRES | En rayon

Suggestions

Du même auteur

Le fil de l'espoir / Keigo Higashino | Higashino, Keigo (1958-....). Auteur

Le fil de l'espoir / Keigo Higashino

Livre | Higashino, Keigo (1958-....). Auteur | 2025

Quand Yayoi, propriétaire d'un paisible salon de thé, est retrouvée assassinée, les enquêteurs Kaga et Matsumiya plongent au coeur d'une affaire aussi complexe qu'émouvante. Leurs investigations les conduisent à Shiomi, un homme m...

La lumière de la nuit : roman / Keigo Higashino | Higashino, Keigo (1958-....). Auteur

La lumière de la nuit : roman / Keigo Higashi...

Livre | Higashino, Keigo (1958-....). Auteur | 2015

Yukiho et Ryoj ont deux points communs : ils fréquentent la même école et la mère de Yukiho est la dernière personne à avoir vu le père de Ryoji avant qu'il soit assassiné. Après une enquête infructueuse, l'affaire est classée san...

La maison où je suis mort autrefois : roman / Keiko Higashino | Higashino, Keigo (1958-....). Auteur

La maison où je suis mort autrefois : roman /...

Livre | Higashino, Keigo (1958-....). Auteur | 2010

Sayaka Kurahashi va mal. Mariée à un homme d'affaires absent, mère d'une fillette de trois ans qu'elle maltraite, elle a déjà tenté de mettre fin à ses jours. Et puis il y a cette étonnante amnésie : elle n'a aucun souvenir avant ...

Ceux qui ont emprunté ont aussi emprunté

La maison où je suis mort autrefois : roman / Keiko Higashino | Higashino, Keigo (1958-....). Auteur

La maison où je suis mort autrefois : roman /...

Livre | Higashino, Keigo (1958-....). Auteur | 2010

Sayaka Kurahashi va mal. Mariée à un homme d'affaires absent, mère d'une fillette de trois ans qu'elle maltraite, elle a déjà tenté de mettre fin à ses jours. Et puis il y a cette étonnante amnésie : elle n'a aucun souvenir avant ...

Le Cygne et la chauve-souris / Keigo Higashino | Higashino, Keigo (1958-....). Auteur

Le Cygne et la chauve-souris / Keigo Higashin...

Livre | Higashino, Keigo (1958-....). Auteur | 2023

Le cadavre d'un homme est retrouvé dans une voiture à Tokyo. Il a sur lui son portefeuille, qui contient une importante somme d'argent, mais son téléphone est retrouvé, souillé de sang, dans un autre quartier de la ville. Higashin...

En savoir plus

Biographie

L'ambiance y est informelle, et le prince traite ses musiciens comme ses égaux. Il les emmène à Carlsbad (devenue Karlovy Vary en République tchèque) pour prendre les bains, et il joue souvent avec eux, parfois même chez Bach lorsque sa mère, Gisela Agnes, s'irrite de la présence perpétuelle de l'orchestre au palais. Son poste offre à Bach un certain confort matériel, avec une dotation de 400 thalers par an{{sfn|Marcel|1961|p=76}}. Le prince Léopold est par ailleurs le parrain de Léopold Augustus Bach, le dernier enfant de Maria Barbara. Cette période heureuse est propice à l'écriture de ses plus grandes œuvres instrumentales pour luth, flûte, violon (Sonates et partitas pour violon seul), clavecin (premier livre du « Clavier bien tempéré »), violoncelle (Suites pour violoncelle seul), Six concertos brandebourgeois, et probablement la (dont la célèbre Aria ou Air sur la corde de sol de son {{2e mouvement}}, appelé « Air de Jean-Sébastien Bach »). Mais sa femme, Maria Barbara, meurt le 7 juillet 1720{{sfn|du Bouchet|1991|p=77}}, et cet événement le marque profondément. Il en est d'autant plus bouleversé qu'il n'apprend la mort et l'enterrement de son épouse qu'à son retour de Dresde. Il se remarie un an et demi plus tard avec Anna Magdalena Wilcke, fille d'un grand musicien et prima donna de la cour de Köthen{{sfn|du Bouchet|1991|p=84}},. Il songe à quitter cet endroit rempli de souvenirs à la recherche d'une ville universitaire pour les études supérieures de ses enfants, d'autant qu'il ne peut composer de musique sacrée dans une cour calviniste. De plus, le prince se remarie en 1721, et sa deuxième épouse semble être eine amusa, selon le dire de Bach, c’est-à-dire peu sensible aux arts en général, et en détourne son mari. Parallèlement, le prince doit contribuer davantage aux dépenses militaires prussiennes{{sfn|du Bouchet|1991|p=85}}. Bach cherche un nouvel emploi. En 1720, à la Katharinenkirche de Hambourg, il donne un concert très remarqué, en particulier par Johann Adam Reinken, très âgé{{sfn|Dowley|1990|p=44}}, et se voit presque proposer un poste. Il rassemble un recueil de ses meilleures œuvres concertantes (les six concertos brandebourgeois), et les envoie au margrave de Brandebourg qui lui avait marqué un certain intérêt deux ans auparavant. Il postule à Leipzig, où le poste de cantor est vacant et lui offrirait une plus grande renommée dans le Saint-Empire, mais aussi en Pologne et en France : le prince-électeur de Saxe est roi de Pologne et a fréquenté la cour de Versailles, avec laquelle il garde de bonnes relations. Il obtient le poste de cantor de Leipzig, succédant à Johann Kuhnau, fonction pourtant d'un rang inférieur à celle de Kapellmeister qu'il occupait auprès du prince. C'est peu après sa nomination, alors qu'il est encore à Köthen, qu'il compose la Passion selon saint Jean destinée à l'église Saint-Thomas de Leipzig. Cette ville de commerce n'a pas d'orchestre de cour et l'opéra y a fermé ses portes, sa femme doit abandonner sa carrière de cantatrice. Elle l'aide alors dans ses travaux de copie et de transcription.

Artistes similaires