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Le petit château de Sceaux / Etienne Faisant, Alexandre Gady
Livre
Edité par Le Passage. Paris - 2024
Construit dans les années 1650 pour un notaire parisien, le Petit Château de Sceaux fut d'abord pensé comme une demeure d'agrément aux environs de la capitale. Son acquisition en 1682 par Colbert changea son destin et l'amena à recevoir de nouvelles fonctions plus éminentes. Il devint, au début du XVIIIe siècle, la résidence des fils du duc et de la duchesse du Maine et fut longuement habité par le comte d'Eu, petit-fils de Louis XIV. Ayant retrouvé après la Révolution sa vocation première, celle d'un lieu de séjour agréable utilisé par des particuliers, il est devenu en 1935 une propriété publique. Son intégration au domaine départemental de Sceaux a sauvé cet édifice étonnant, qui se signale à la fois par son histoire prestigieuse et comme un précieux témoin des pratiques de villégiature des Parisiens au Grand Siècle.
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Audio - 1998 - Bill Evans at the Montreux Jazz Festival / Bill Evans, p
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Biographie
Biographie

Bill Evans est né le 16 août 1929 à Plainfield (New-Jersey). Son père, d'origine galloise, et sa mère, d'origine russe, sont mélomanes. Ils lui font étudier le piano et en « second instrument » le violon (qu'il abandonnera au bout de deux ans) puis la flûte. Adolescent, il commence à s'intéresser au jazz, et en particulier à Bud Powell, Nat King Cole, George Shearing et Lennie Tristano ; il joue dans des orchestres amateurs locaux. Il poursuit ses études musicales au Southern Louisiana College dont il sort primé en 1950. Après un bref passage dans l'orchestre du clarinettiste Herbie Field, il passe trois ans dans l'armée, comme flûtiste, en garnison à Fort Sheridan. Il gardera toujours de ces années un souvenir amer. C'est en trio piano - contrebasse - batterie, formule qu'il disait préférer à toute autre, que le pianiste Bill Evans (1929 - 1980) aura enregistré la majeure partie de ses nombreux disques (une centaine) à partir de 1960. Néanmoins, idée de producteur, il sacrifiera au don d'ubiquité grâce à la technique du re-recording (ré-enregistrement), à deux ou trois " voix " superposées, piano acoustique et électrique, les fameuses Conversations with Myself. Bien qu'il soit visiblement peu à l'aise, seul, dans un studio d'enregistrement, il grava trois albums en " solo absolu ", les Solo Sessions en Janvier 1963, Alone au Webster Hall de New York City à l'automne 1968 et Alone (again) en Décembre 1975. Alors qu'il ne répétait pratiquement jamais en trio, il confiait combien le solo était pour lui une sorte d'épreuve (préparation, concentration), on alla jusqu'à évoquer un certain malaise devant ce face-à-face avec lui même qu'il semblait redouter dans cette solitude totale. Alone donc, qui allait lui rapporter un troisième Grammy (l'équivalent américain des " Victoires de la Musique "), est un pur joyau, " un diamant qui brille de tous ses feux mais demeure plein de secret " écrit Alain Gerber dans son Bill Evans chez Fayard ; on entend là toute la quintessence de son style. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.