Crâne d'os / Mo Hayder

Livre

Hayder, Mo (1962-2021). Auteur

Edité par Presses de la Cité. Paris cedex 13 - 2025

Les fantômes n'existent pas... Un terrible accident... Niché au cœur des Cotswolds, Eastonbirt a tout du village anglais idyllique. Mais ses habitants restent hantés par une tragédie. Une tragédie à laquelle Alex Mullins a survécu. La silhouette d'une femme... Cette nuit-là, une femme au visage décharné s'est penchée sur Alex. Une femme qui ressemble à Crâne d'os, une prostituée assassinée un siècle plus tôt. Une vérité pire que la légende... Alex ne croit pas aux légendes urbaines. Avec Arran, son ami d'enfance, elle décide de remonter le fil de la nuit du drame. Mais tandis que leur enquête progresse, des événements inquiétants viennent perturber leurs vies. Et bientôt, la femme sans visage refait surface.

Voir la collection «Presses de la Cité Noir»

Autres documents dans la collection «Presses de la Cité Noir»

1 exemplaire disponible

Plus d'infos

Se procurer le document

Pour réserver un exemplaire, il est nécessaire d'être authentifié. Les réservations dépendent de votre abonnement en cours.

Audio - 2021 - Superchat : A la recherche de paon perdu / Pascal Parisot

Disponible à BIBLIOTHEQUE MUNICIPALE

Jeunesse | -1 Livres audio jeunesse | A PAR | LIVRES AUDIO | En rayon

Suggestions

Du même auteur

Birdman : roman / Mo Hayder | Hayder, Mo (1962-2021). Auteur

Birdman : roman / Mo Hayder

Livre | Hayder, Mo (1962-2021). Auteur | 2000

Proies : roman / Mo Hayder | Hayder, Mo (1962-2021). Auteur

Proies : roman / Mo Hayder

Livre | Hayder, Mo (1962-2021). Auteur | 2010

Tokyo : roman / Mo Hayder | Hayder, Mo (1962-2021). Auteur

Tokyo : roman / Mo Hayder

Livre | Hayder, Mo (1962-2021). Auteur | 2005

Grey débarque à Tokyo dans le but de retrouver une vidéo qui prouverait les atrocités commises par les Japonais à Nankin en 1937. Un homme peut l'aider. Survivant du massacre et maintenant professeur, il se méfie de la jeune femme...

En savoir plus

Biographie

Du point de vue du style, Rachmaninov n’est pas réellement un novateur : ses compositions restent fermement ancrées dans la tradition romantique, même s’il a tenté progressivement d’utiliser une palette harmonique un peu plus étendue. L'un de ses chefs-d'œuvre, L'Île des morts, est une exposition d'images sentimentales à l'état pur mettant en valeur des harmonies souvent riches, une ligne mélodique qui plonge l'auditeur dans le mystère existentiel du cœur et de la pensée, et une orchestration qui nous remet en mémoire le rôle joué par Berlioz dans l'histoire de la musique russe de la deuxième moitié du XIX. Le style de Rachmaninov est très influencé, au début de sa carrière de compositeur, par Piotr Ilitch Tchaïkovski (dont la mort, en 1893, l'amène à composer son second trio élégiaque à la mémoire de son idole). Il commence à trouver un style qui lui est propre lorsqu'il compose sa première symphonie : ses gestes puissants et sa force physique utilisée pour exprimer les nuances musicales sont sans précédent chez les compositeurs russes de l'époque. Il exprime dans cette symphonie une sobriété dans ses thèmes musicaux qu'il développe et affine avec le temps. Cette symphonie est accueillie de manière mitigée par le public, mais le style de Rachmaninov se développe tout de même dans ce que l'on pourrait qualifier d'un mélange équilibré entre concision et raffinement. On retiendra de Rachmaninov, également, son usage d'accords très espacés : son Deuxième concerto pour piano, son Étude-tableau en mi bémol majeur et surtout son Prélude en si mineur. Son style est également très marqué par les chants russes de la religion orthodoxe. Une grande partie de son matériau thématique (pour la composition de ses mélodies) est inspiré de ces chants. L'influence religieuse se retrouve également dans son emploi de la structure du {{langue|la|Dies iræ}} (notamment, sa Rhapsodie sur un thème de Paganini). Une autre caractéristique du style musical de Rachmaninov est son usage du contrepoint chromatique (venant de son apprentissage auprès de Taneïev). Cette technique, datant du Moyen Âge, est magnifiée par Rachmaninov, qui l'utilise tant à petite échelle (tierces, ou quartes dissonantes) ou à grande échelle (douzième voire treizième pour certains de ses accords, que beaucoup de pianistes ne peuvent jouer faute d'avoir les mains assez grandes). La dernière réplique de la pièce Oncle Vania d'Anton Tchekhov a inspiré Rachmaninov pour écrire Nous nous reposerons (26 3 : « My otdokhniom » en russe, « {{langue|en|We shall rest}} » en anglais).

Artistes similaires