Casse-pipe à la Nation / d'après le roman de Léo Malet

Livre

Malet, Léo (1909-1996). Auteur

Edité par Casterman. [Paris] - 1996

Où nous retrouvons celui qui met le mystère KO, le détective de choc Nestor Burma né en 1943 sous la plume de Léo Malet. Fondateur de l'agence Fiat Lux, Nestor Burma arpente Paris dans tous les sens pour sauver du désarroi de charmantes jeunes filles aux intentions pas toujours louables. Il a la réputation de travailler en solo, garde le silence sur ses clients, n'est pas très aimé de la police et prend souvent des coups sur la tête. L'aventure commence gare de Lyon. Lassé d'attendre Hélène, sa fidèle secrétaire, Burma décide de suivre une belle brune qui l'entraîne à la foire du Trône. Où, toujours suivant la belle brune, il monte derrière elle dans le grand huit. Où un inconnu essaie de le balancer dans le vide. Où c'est l'agresseur qui tombe dans le vide et Nestor Burma qui tombe dans les pommes. Où les flics qui s'en mêlent soupçonnent le détective de faire son travail de détective en filant le mort avant qu'il soit mort. Où Nestor Burma décide de s'occuper de l'affaire - savoir pourquoi on a voulu le tuer - et où il découvre qu'une certaine Geneviève Lissert a, elle aussi, été poussée du grand huit et s'en est remise aigrie et paralysée. Après "Brouillard au pont de Tolbiac" et "120 rue de la Gare", Tardi poursuit l'adaptation des "Nouveaux mystères de Paris" avec sa sensibilité, sa vision du Paris des années 50, et nous entraîne dans un tourbillon infernal. Tournez, manèges !

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B.D.
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Dans un monde qu'il ne maîtrise plus, un cadre, qui a pourtant femme, enfants, voiture et poste de télévision, se retrouve en cavale, poursuivi par deux tueurs à gages. Adaptation du roman de Jean Patrick Manchette écrit en 1976.

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Biographie

{{Média externe|audio1=[https://www.youtube.com/watch?v=hWFEwbKe1Ds Cromorne en taille, messe des Paroisses], Jean-Luc Perrot, orgue François-Henri Clicquot de Souvigny|audio2=[https://www.youtube.com/watch?v=3JO2NLB370k Fugue sur les jeux d'anches, Kyrie, messe des Paroisses], Jean-Luc Perrot, orgue François-Henri Clicquot de Souvigny}} * Pièces d'orgue consistant en deux messes (Paris, 1690) : ** Messe à l'usage ordinaire des paroisses pour les fêtes solemnelles ** Messe propre pour les Convents de religieux et religieuses Ces deux messes, d'une qualité exceptionnelle, peuvent se définir à la fois comme la synthèse des messes léguées par les grands maîtres parisiens de l'orgue notamment Nivers, Lebègue ou Raison et comme un témoignage tout à fait personnel de l'art organistique de l'auteur, d'une grande économie de moyens, aux thèmes originaux et à la construction réfléchie. Ce sont deux chefs-d'œuvre incontournables de la littérature destinée à cet instrument, malheureusement les seuls qu'ait laissés François Couperin.

Biographie

François Couperin, dit « le Grand » (Paris 10 novembre 1668 - Paris 11 septembre 1733) était un des principaux compositeurs français de l'époque « baroque ». Il doit sa renommée principalement à son œuvre pour clavecin, la plus importante et une des plus remarquables de toute l'école française. Originaires de Chaumes-en-Brie, les Couperin appartiennent à une des plus nombreuses familles de musiciens français des XVIIe et XVIIIe siècles. Comme nombre de ses collègues, François Couperin est tout naturellement destiné, dès sa naissance, à une carrière musicale. Le père de François Couperin, Charles (1639-1679), était le plus jeune frère de Louis Couperin et lui avait succédé comme titulaire de l'orgue de l'église parisienne de Saint-Gervais. Il était également professeur de clavecin de la duchesse d'Orléans. François apprit la musique auprès de son père avant même de lire et d'écrire. Il ne fit pas d'études générales et ses écrits sont d'un style et d'une orthographe qui laissent beaucoup à désirer. Orphelin de bonne heure, il était déjà suffisamment doué pour qu'on lui assure la « survivance » de son père à l'orgue de Saint-Gervais, c'est-à-dire la transmission de la charge de titulaire, en la confiant temporairement à Michel-Richard Delalande jusqu'à ce que le garçon eut l'âge et l'expérience requis. Il se perfectionna auprès de Jacques Thomelin, organiste de Saint-Jacques la Boucherie et, surtout, l'un des quatre titulaires de l'orgue de la Chapelle Royale. C'est certainement par l'entremise de Delalande et de Buterne qu'il entra au service de Louis XIV. Ses qualités de musicien le firent hautement apprécier du souverain, et il fut nommé l'un des quatre organistes (par quartier) de la Chapelle Royale. Couperin, qui n'était pas un homme d'intrigues, ne vécut que pour son art, et n'obtint pas un poste que ses dons auraient pu lui assurer: celui de claveciniste du roi. C'est le fils de Jean-Henri d'Anglebert, piètre musicien, qui conserva la survivance de la charge lorsque son père mourut. De santé fragile et de caractère peu mondain, Couperin, quant à lui, mena une honnête carrière de musicien et de professeur, apprécié cependant des grands qui ne lui voyaient qu'un rival : Louis Marchand. Peu d'événements de sa vie personnelle sont notables, si ce n'est la disparition d'un de ses fils qui quitta le domicile paternel sans presque jamais y revenir. Quant à ses deux filles, elles furent elles-mêmes des musiciennes accomplies. Vers la fin de sa vie, il abandonna progressivement ses diverses charges, notamment à la Chapelle Royale et sa tribune à l'orgue de Saint-Gervais. Couperin est avant tout, avec Jean-Philippe Rameau, le grand maître du clavecin en France au XVIIIe siècle, tant par la quantité de ses pièces que par leur qualité. Son œuvre comprend vingt-sept ordres en quatre livres : les premiers se rattachent encore, de façon très libre, à la suite traditionnelle (mais peuvent comporter un nombre de pièces important : jusqu'à vingt-deux pour le second ordre). Toute référence aux airs de danse disparaît à partir du second recueil et Couperin élabore un style qui lui est très personnel, fait d'une poésie discrète, d'une atmosphère élégiaque et d'une technique qui ne se laisse jamais dominer par la virtuosité ou les effets. Malgré les années passées à tenir l'orgue de Saint-Gervais et de la Chapelle Royale, Couperin - comme nombre de ses confrères organistes - n'a laissé pour cet instrument que deux messes, oeuvres de jeunesse, qui constituent néanmoins un des sommets du répertoire français classique. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.

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