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Ma reine : roman / Jean-Baptiste Andrea
Livre
Edité par l'Iconoclaste. Paris - 2017
Vallée de l'Asse, Provence, été 1965. Il vit dans une station-service avec ses vieux parents. Les voitures qui passent sont rares. Shell ne va plus à l'école. Il est différent. Un jour, il décide de partir. Pour aller à la guerre et prouver qu'il est un homme. Mais sur le plateau qui surplombe la vallée, nulle guerre ne sévit. Seuls se déploient le silence et les odeurs du maquis. Et une fille, comme un souffle, qui apparaît devant lui. Avec elle, tout s'invente et l'impossible devient vrai. Il lui obéit comme on se jette du haut d'une falaise. Par amour. Par jeu. Et désir d'absolu. Ma reine est une ode à la liberté, à l'imaginaire, à la différence. Jean-Baptiste Andrea y campe des personnages cabossés, ou plutôt des êtres en parfaite harmonie avec un monde où les valeurs sont inversées, et signe un conte initiatique tendre et fulgurant.
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Audio - 2009 - Through the devil softly / Hope Sandoval
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Biographie

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Biographie

Theodore Walter Rollins, plus connu sous le nom de Sonny Rollins, né le 7 septembre 1930 à New York, est un saxophoniste ténor et compositeur de jazz. Ses cinquante ans de carrière lui donnent aujourd'hui le statut de dernier géant en activité. Improvisateur forcené, croisant les genres, poussant à leurs limites le son et le phrasé, Rollins incarne l'esprit de quête inlassable dont le jazz noir américain est marqué. C'est à l'école du be-bop que le jeune Theodore Walter Rollins fait ses classes professionnelles, à partir de 1949. Ses premiers enregistrements pour le label Fantasy révèlent une sonorité pure et ample, héritée de Coleman Hawkins, une maîtrise rythmique et harmonique hors du commun et, déjà, un certain penchant pour la déconstruction et la reconstruction presque frénétique des thèmes. La reconnaissance du milieu newyorkais est immédiate. Il joue avec Miles Davis ou Thelonious Monk et enregistre sous son nom des albums devenus des classiques incontournables (Saxophone Colossus, en 1956) avec, à ses côtés, Max Roach, Clifford Brown, Tommy Flanagan et John Coltrane, le temps d'un Tenor Madness mémorable, . Au début des années 1960, alors que le succès public et critique ne se dément pas, la carrière impeccable manque de s'arrêter. Deux ans de doute, faute de nouveaux terrains à défricher. Il faut un voyage en Inde et des heures à jouer, seul, sous le pont de Williamsburg à New York pour le ramener en studio en 1962. Le disque du retour s'appelle The Bridge, et constitue un tournant. Tempos flottants, sonorité moins classique, Rollins brise les chaînes du hard-bop pour s'approprier les audaces du free-jazz émergent. Suivent la rencontre musicale avec Coleman Hawkins (Sonny meets Hawk), un album latin (What's new in jazz?) et une collaboration avec Elvin Jones (East Brodway rundown), alors fraîchement débarqué du groupe de John Coltrane. En 2007, il partage le Polar Music Prize avec Steve Reich. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.