Very best of (The) / Joan Baez, chant

Audio

Baez, Joan

Edité par East West - 1997

Contient
  • Let it be, Gracias a la vida, The night they drove Old Dixie down, Blowin' in the wind, Diamonds and rust, House of the rising sun, O'cangaceiro, Manha de carnaval, It's all over now, Baby Blue, We shall overcome, Plaisir d'amour, Farewell, Angelina, Pauvre Ruteboeuf, Sweet Sir Galahad, There but for fortune, Stewball, If you were a carpenter, What have they done to the rain, Battle hymn of the republic, Heaven helps us all, Te ador
  • Oh happy day, Imagine, Suzanne, I shall be released, A hard rain's a-gonna fall, Hickory wind, Joe hill, Seven bridges road, Blessed are ..., Don't think twice, it's all right, I still miss someone, The lady came from Baltimore, Dear landlord, Walkin' down the line, Help me make it through the night, Cantique de Noel, Colours, The Lily of the west, Love is just a four-letter word, The brand new Tennessee waltz
1 exemplaire disponible

Plus d'infos

Se procurer le document

Pour réserver un exemplaire, il est nécessaire d'être authentifié. Les réservations dépendent de votre abonnement en cours.

Audio - 1991 - Mr Lucky / interprète, John Lee Hooker

Disponible à BIBLIOTHEQUE MUNICIPALE

Musique & Cinéma | +1 Musique & Cinéma & Multimédia | 1.1 HOO | CD musique | En rayon

Suggestions

Du même auteur

Beginnings / Joan Baez | Baez, Joan

Beginnings / Joan Baez

Audio | Baez, Joan | 2012

Ce CD explore les premières années de la carrière de Joan Baez en roposant les meilleurs titres de ses deux premiers albums.

Woodstock : Bande originale du film / John B. Sebastian, Canned Heat, Richie Havens, ... [et al.] | Havens, Richie

Woodstock : Bande originale du film / John B....

Audio | Havens, Richie | 1970

Les Années Woodstock : La bande son de la génération Peace & Love / Janis Joplin, Santana, Jefferson Airplane, ... [et al.] | Joplin, Janis

Les Années Woodstock : La bande son de la gén...

Audio | Joplin, Janis | 2009

Ceux qui ont emprunté ont aussi emprunté

De l'autre côté / Fatih Akin, réal. et scénario | Akin, Fatih. Metteur en scène ou réalisateur

De l'autre côté / Fatih Akin, réal. et scénar...

Vidéo | Akin, Fatih. Metteur en scène ou réalisateur | 2007

Malgré les réticences de son fils Nejat, Ali, qui est veuf, décide de vivre avec Yeter, une prostituée, d'origine turque, comme lui. Mais Nejat, jeune prof d'allemand, ne tarde pas à se prendre d'affection pour la douce Yeter lors...

Beginnings / Joan Baez | Baez, Joan

Beginnings / Joan Baez

Audio | Baez, Joan | 2012

Ce CD explore les premières années de la carrière de Joan Baez en roposant les meilleurs titres de ses deux premiers albums.

En savoir plus

Biographie

John Lee Hooker, né le 22 août 1917 à Clarksdale (Mississippi, États-Unis), et mort le 21 juin 2001 à Los Altos (Californie, États-Unis), est un guitariste et chanteur de blues américain. Son style, unique et authentique à la fois, en a fait l'un des artistes les plus importants de cette musique, et son influence sur le blues rock et le rock durant tout le XXe est considérable. Parmi ses titres les plus connus : Boogie Chillen (1948), I'm in the Mood (1951) et Boom Boom (1962), les deux premiers s’étant classés 1 dans les charts (diagrammes des ventes) R&B du Billboard magazine. En France, Shake It Baby a remporté un certain succès en 1963 et a longtemps fait danser dans les boums ou surboums des années 1960. John Lee Hooker entre au Rock and Roll Hall of Fame en 1991.

Biographie

John Lee Hooker est un célèbre guitariste bluesman américain très influent sur la musique blues et rock des années soixante à nos jours. Son style unique et authentique à la fois en a fait l'un des artistes les plus importants de cette musique, et son influence sur le Blues et le Rock durant tout le XXe siècle est considérable. Né le 22 août 1917 près de Clarksdale dans le Mississippi, John Lee Hooker est le dernier d'une famille pauvre de 11 enfants. Durant sa prime enfance, il n'est exposé à la musique que sous la forme de chants religieux tels que le Gospel, seule forme musicale que son père, pasteur de son état, autorise à sa famille. Il ne se familiarise avec le Blues qu'après la séparation de ses parents en 1921 et le remariage de sa mère avec Willie Moore, ouvrier agricole et bluesman à ses heures, qui lui apprend des rudiments de guitare. Toute sa vie, John Lee Hooker rendra hommage à son beau-père, qu'il considère à l'origine de son style très personnel. En 1923, le père de Hooker meurt, et John Lee, âgé de seulement 15 ans, fuit son foyer. Il ne reverra jamais ni sa mère ni son beau-père. Après diverses péripéties sur lesquelles les sources diffèrent, il s'installe en 1943 à Detroit, alors capitale de l'industrie automobile, dans l'intention d'y exercer un travail d'ouvrier. Dans le même temps, il tente de trouver des engagements de musiciens dans les bars et les bordels de Hasting Street, le quartier des plaisirs de la ville. Il y connaît des débuts difficiles dus au manque de puissance sonore de son instrument : il faut parvenir à couvrir le bruit des consommateurs, voire des orchestres concurrents ! Il adopte donc très tôt les premières guitares électriques, qui permettent, grâce à leurs micros intégrés et à un amplificateur, de jouer plus fort que n'importe qui, et développe un style agressif et hypnotique, exploitant au mieux l'énergie musicale de l'électricité. En 1948, il enregistre son premier disque, la chanson Boogie Chillen, dans un style rudimentaire, proche de la parole, qui deviendra sa marque de fabrique. La "première carrière" de John Lee Hooker Les musiciens noirs étant très mal payés à cette époque, Hooker, malgré le succès de ses disques, est contraint de courir les studios et les contrats, enregistrant parfois plusieurs fois le même morceaux, avec des variations minimes, sous des pseudonymes tels que "John Lee Booker," "Johnny Hooker," ou "John Cooker". Sa musique, très libre sur le plan rythmique, supportant mal l'accompagnement, il est le plus souvent enregistré seul, marquant le rythme à l'aide d'une capsule de Coca Cola clouée sous sa chaussure. Dans les années 50, les temps sont durs pour les musiciens de Blues américains comme John Lee Hooker : une partie du public noir se désintéresse de leur musique au profit du Rhythm and Blues, plus entraînant et dansant. Quant aux blancs, le marché très compartimenté de la musique aux États Unis, allié au racisme ambiant, les empêchent d'avoir simplement accès au Blues. Durant cette période, de nombreux bluesman, ne parvenant plus à survivre de leur art, sont contraints de redevenir ouvriers ou métayers. John Lee Hooker parvient tant bien que mal à se maintenir à flot, mais sa carrière stagne. Jusqu'à ce qu'un événement inattendu ne vienne sauver la donne ... John Lee Hooker, icône du Blues Avec les années 60 vient en effet le British Blues Boom : des musiciens anglais comme les Rolling Stones, Eric Clapton ou John Mayall redécouvrent le Blues, le pratiquent et sortent de l'oubli quantité de musiciens légendaires, dont Hooker. Le public européen, avide d'authenticité, lui fait un triomphe dont lui-même, habitué au mépris des blancs aux États-Unis, est stupéfait. John Lee Hooker devient alors une véritable star dans le monde entier, aux côtés d'autres grands musiciens fraichement redécouverts comme Muddy Waters ou Howlin' Wolf.Il enregistre avec les plus grands groupes de Blues électrique tels que Canned Heat, et démarre une carrière internationale fructueuse qui durera jusqu'à sa mort. En 1980, il joue son tube Boom Boom dans le film The Blues Brothers. Pour respecter son style d'improvisation, sa prestation est filmée et enregistrée en live, au contraire de bien des films musicaux qui utilisent le playback. Il se joint en 1989 à d'autres musiciens prestigieux tels que Carlos Santana et Keith Richards pour enregistrer l'album The Healer, qui lui vaudra un Grammy Award du Meilleur disque de Blues traditionnel. Il chante également plusieurs morceaux aux côtés de Van Morrison, dont "Never Get Out of These Blues Alive", "The Healing Game" et "I Cover the Waterfront", et se produit avec lui sur scène. A la fin de sa vie, Hooker s'installe à San Francisco, où il ouvre un club de Blues nommé d'après son plus grand succès, Boom Boom Room. Il tombe malade en 2001, juste avant une tournée en Europe, et meurt peu après, à l'âge de 83 ans. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.

Artistes similaires