0 avis
La vallée des immortels. Tome I, Menace sur Hong-Kong / scénario, Yves Sente
Livre
Edité par Blake et Mortimer ; Impr. PPO graphic - 2018
A Lhassa, le palais impérial du dictateur Basam-Damdu est anéanti par une escadrille d'Espadons, et le monde, soulagé, fête la fin de la troisième guerre mondiale. Pendant que, dans la Chine voisine, les communistes de Mao affrontent les nationalistes de Chiang Kai-shek, le Seigneur de la guerre Xi-Li cherche à mettre la main sur un manuscrit qui lui permettra d'asseoir son pouvoir sur l'Empire du Milieu. Face aux menaces qui planent sur la région, le capitaine Francis Blake est chargé d'organiser la défense de la colonie britannique de Hong Kong. De son côté, à Londres, le professeur Philip Mortimer est amené à s'intéresser de près à une curiosité archéologique chinoise suscitant appétits et convoitises. Au même moment, le fameux colonel Olrik, ancien conseiller militaire déchu de Basam-Damdu, profite du chaos ambiant pour monnayer ses services auprès du général Xi-Li afin d'assouvir sa soif de vengeance... Premier volet d'un diptyque, La Vallée des Immortels commence exactement là où Le Secret de l'Espadon s'achève. Les amateurs de Blake et Mortimer retrouveront quelques-uns des ingrédients qui ont assuré la renommée de la saga d'Edgar P. Jacobs : la grande aventure, l'exotisme, qui s'exprime ici dans les ruelles dangereuses de Hong Kong, l'atmosphère londonienne digne des plus belles pages de La Marque Jaune et la science-fiction, incarnée par le nouvel engin imaginé par le professeur Mortimer, le Skylantern, le tout relevé par quelques figures de traîtres et par un Olrik plus machiavélique que jamais. Ecrit par Yves Sente, l'album est dessiné à quatre mains par Teun Berserik et Peter van Dongen. Inspirés par la " ligne claire " du Mystère de la Grande Pyramide, ils ont su relever ce défi graphique avec maestria et fidélité à l'esprit Jacobsien. Cet album devrait ravir les amateurs les plus pointus de la série.
Voir la série «Les aventures de Blake et Mortimer.»
Autres documents de la série «Les aventures de Blake et Mortimer.»
- Classification
- B.D. J
Se procurer le document
Pour réserver un exemplaire, il est nécessaire d'être authentifié. Les réservations dépendent de votre abonnement en cours.
Livre - 2001 - On n'y voit rien : descriptions : essai / Daniel Arasse
Disponible à BIBLIOTHEQUE MUNICIPALE
Adulte | -1 Documentaires (dès 9 ans) | 750 ARA | LIVRES | En rayonAutre format
Issus de la même oeuvre
En savoir plus
Biographie

Ecouter l'album sur Deezer
Biographie

Desmond Dekker, de son vrai nom Desmond Adolphus Dacres (16 juillet 1941, Kingston, Jamaïque - 25 mai 2006, Surrey, Angleterre) était un chanteur et un compositeur de reggae et de ska. Desmond Dekker est l'un des premiers chanteurs jamaïcains les plus connus en dehors de son pays. Avec son groupe «Les Aces», composé de Wilson James et Easton Barrington Howard, il a sorti le premier hit jamaïcain connu internationalement "Israelites" enregistré chez Leslie Kong’s Beverley Records. Biographie Le son de sa voix et l'instrumentation qui l'accompagne n'est pas sans rappeler le rock'n'roll dont il apprécie le son. Desmond Dekker, c'est une voix phénoménale et cristalline, des mélodies inspirées au service d'un Rocksteady engagé et positif. Après quelques auditions qui se soldèrent par des échecs (notamment chez Clement 'Coxsone' Dodd / Studio One et Duke Reid / Treasure Isle), il auditionne chez Beverley’s Records (label du célèbre producteur Jamaïcain d’origine Asiatique : Leslie Kong). Ce sera le début d’une longue collaboration : du premier single de Dekker (Honour your father and mother, 1963) jusqu’à la mort de L. Kong en 1971. Honour Your Father and Mother, Sinners Come Home et Labour for Learning sont ses premiers tubes qu'il avait sorti sous le nom de Desmond Dacres. Après ces trois titres, il changera son nom. Pendant ces années plusieurs titres de D. Dekker seront des hits qui permettront, avant Bob Marley, de faire découvrir la musique jamaïcaine à un public international. Avec son groupe The Aces (appelé initialement Four Aces avant le départ d’un des membres), il enregistrera par exemple Sinners come home (1964), Labour for learning (1964), King of ska (1965). Jusqu'en 1967 il produira un son tourné vers un large public puis suivra la mode Rude boys, dont les textes sont parfois violents, sans atteindre les mêmes extrêmes. C'est à cette époque qu'il sortira Rude Boy Train (1966) et Rudie Got Soul (1966). Il continuera avec le fameux 007 (Shanty Town) (1967), inspiré de l'agent du même nom, qui le rendra célèbre parmi les rude boys. Il n'oublie pas pour autant le contenu de ses premiers textes qui parlaient de religion et de moralité (It's a Shame, Wise Man, Hey Grandma, Unity, It Pays, Mother's Young Girl and Sabotage). En 1968, Dekker remporte le National Song Competition en Jamaïque avec son titre Intensified. Il sort l'année suivanteIsraelites qui explose les Hits américains et anglais. Cette chanson, aux paroles dénonciatrices (Je me lève le matin, esclave pour un bout de pain / Pour que chaque bouche puisse être nourrie) sort à une époque où la Jamaïque connaît de fortes émeutes. Desmond Dekker est d’ailleurs connu pour ses textes engagés : Unity (1967), Sabotage (Action !, 1968), Pretty Africa (1967). En Angleterre, grâce à ce succès et au soutien des skinheads, la musique jamaïcaine devient de plus en plus populaire. Plusieurs artistes jamaïcains rentrent alors dans les charts, dont les Harry J. Allstars avec Liquidator (1969). D'autres titres méritent également d'être cités, comme King of Ska dont le groupe qui l'accompagne "The Cherrypies" n'est autre que The Maytals, Fu Man Chu, Intensified 68 (Music like dirt). A la mort de Leslie Kong en 1971, Dekker passe de Beverley’s Records à Cactus (label anglais). Ses enregistrements sont alors principalement des reprises de ses anciens titres. Pendant la période du ska revival il sortit notamment l’album Black and Dekker (1980) puis King of King en 1995 avec des membres du groupe The Specials. Desmond Dekker est mort d'un arrêt cardiaque, à son domicile de Surrey, en Angleterre, le 25 mai 2006 alors qu'il entamait une tournée européenne. Le label britannique Trojan a sorti en 2006 une réédition de This is Desmond Dekkar, production Leslie Kong de 1969 comportant une bonne partie de ses hits. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.