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Raw honey / Drugdealer
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Edité par Modulor - 2019
Avant 2009 Michael Collins n'avait jamais touché un instrument, 4 ans plus tard il sortait The End of Comedy sous le nom de Drugdealer. Ce premier album écrit sous la perspective d'un auditeur et non d'un musicien, et qui invitait notamment Ariel Pink, l'a inscrit durablement dans la scène underground de Los Angeles. A une époque où tout est accessible immédiatement, Michael se demande si le monde a vraiment besoin d'un nouveau film d'amour, d'une nouvelle mélodie. Sur Raw Honey, il colore ces énigmes existentielles avec des arrangements luxuriants, des mélodies mémétiques et des harmonies vulnérables qui tentent de donner un sens au doute personnel et à la solitude interconnectée. Construit sur le partenariat créatif entre Michael, Sasha Winn (chant) et Shags Chamberlain (basse, production), Drugdealer s'apparent plus à un collectif qu'un groupe. Enregistré par Mac DeMarco, ce deuxième album invite Josh Da Costa (batterie), Jackson MacIntosh (guitare), Danny Garcia (guitare), Michael Long (guitare solo) et Benjamin Schwab (choeurs, guitare, orgue, piano, Wurlitzer), ainsi que le chanteur Dougie Poole sur "Wild Motion", Harley Hill-Richmond sur "Lonely" et Natalie Mering, alias Weyes Blood, qui chante doucement avant de monter en puissance sur "Honey", une piste aussi onctueuse que le nectar lui-même. Tout au long de Raw Honey, Michael et son équipe affichent leurs influences telle une nouvelle tapisserie tissée de fils recyclés de milliers de tapisseries qui ont coloré notre histoire collective. Avec une oreille pour créer des mélodies qui semblent à la fois contemporaines et classiques et un processus moderne de création qui cultive et épouse les influences, Michael fait fi des conventions sociales préférant exprimer les doutes qu'il pose sur lui même et jouer le rôle d'étoile polaire pour guider les personnes avec une sensibilité similaire, où qu'elles souhaitent aller.
- Contient
- You've got to be kidding
- Honey/ Drugdealer & Weyes Blood
- Lonely/ Drugdealer & Harley & Hummingbirds (The)
- Lost in my dream
- Fools
- If you don't know now, you never will
- Wild motion/ Drugdealer & Dougie Poole
- London nightmare
- Ending on a hi note
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Audio - 2005 - Fool time / Baptiste Trotignon, p
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Biographie
Biographie
Son père, musicien amateur, l'inscrit à des cours de violon, mais si Baptiste Trotignon aime la musique, il suit ses inclinations qui le poussent à pianoter. Il abandonne donc le violon pour le piano. Après des cours particuliers, il entre à 13 ans au conservatoire régional de Nantes. Accompagnateur à l'opéra de Nantes, il s'intéresse également au jazz et à l'improvisation, tant et si bien qu'il finit par s'y consacrer. A 16 ans, le voilà sur la scène d'un café concert pur sa première prestation... En 1994, le réalisateur Alain Corneau le remarque et le choisit pour jouer dans 'Le Nouveau Monde', comme pianiste et comédien. L'année suivante, il s'installe à Paris et suit les cours de la classe jazz du Conservatoire national supérieur, mais considérant que le jazz se pratique dans les clubs et non dans les institutions rigides, il quitte le Conservatoire lors de sa deuxième année. Il rencontre alors des professionnels et monte son propre groupe en 1998. Baptiste Trotignon peut alors vraiment exprimer son talent et le premier disque du groupe, 'Fluide', reçoit un Django d'or espoir tandis que Baptiste se voit décerner le prix Django Reinhardt et est sacré révélation française de l'année 2003 aux Victoires du jazz pour son premier album solo. Cet album, intitulé 'Solo', présente des compositions originales et Baptiste Trotignon y dessine ses tracés clairs et ses phrasés fluides. Sa technique sans faille, ses compositions et surtout ses improvisations enthousiastes font de Baptiste Trotignon un nom montant de la scène jazz française. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.
