Noëls en chœur / Les polysons chantent Noël

Musique audio

Chœur Des Polysons | Les Petits Polysons

Edité par Coda Musique - 2018

Genre
Date de publication
29/06/2018

Consulter en ligne

Suggestions

Du même auteur

Noël autour du monde | Chœur Des Polysons

Noël autour du monde

Musique audio | 1DTOUCH | Chœur Des Polysons | 2018

Noël des enfants / Traditionnel et sacré | Chœur Des Polysons

Noël des enfants / Traditionnel et sacré

Musique audio | 1DTOUCH | Chœur Des Polysons | 2018

Chœur des polysons / Les plus beaux Noëls | Chœur Des Polysons

Chœur des polysons / Les plus beaux Noëls

Musique audio | 1DTOUCH | Chœur Des Polysons | 2018

En savoir plus

Biographie

André Maurois, pseudonyme d’Émile Salomon Wilhelm Herzog, né le 26 juillet 1885 à Elbeuf (Seine-Inférieure) et mort le 9 octobre 1967 à Neuilly-sur-Seine (Seine), est un romancier, biographe, conteur et essayiste français. Il est l'élève du philosophe Alain, à qui il sera redevable de son orientation esthétique. Il préfère en effet une carrière littéraire à la direction de l’usine familiale et s’illustre d’abord par des romans qui lui gagnent un public féminin : Climats, Les Roses de septembre. Il obtient un prix d'honneur au concours général et passe sa licence de lettres. Sa première épouse est Jane-Wanda de Szymkiewicz (Jeanine) (1892-1924), fille d’un comte polonais avec laquelle il a trois enfants, deux garçons et une fille, Michelle. Interprète militaire et officier de liaison auprès du Corps expéditionnaire britannique en France et en Flandres pendant la Première Guerre mondiale, Maurois écrit en 1918 Les Silences du colonel Bramble, ouvrage qui connaîtra un vif succès tant en France que dans les pays anglophones. Il y traduisit sous le titre Tu seras un homme, mon fils le célèbre poème If de Rudyard Kipling. Cet ouvrage sera suivi des Discours du docteur O'Grady. Les événements de cette guerre lui fournissent son pseudonyme « Maurois », nom d'un village du nord de la France. À Paris, en 1924, il fait la connaissance de Simone de Caillavet, petite-fille de Madame Arman de Caillavet, née Léontine Lippmann, égérie et maîtresse d'Anatole France, et fille de Gaston Arman de Caillavet, auteur de pièces à succès ; elle deviendra sa seconde épouse. Mais c'est dans les biographies que l'écrivain excelle : il les consacre, avec une fraternité inspirée, à des écrivains comme Shelley, Byron, Victor Hugo, George Sand ou Balzac, mais aussi à des personnages politiques comme Disraeli et le général Lyautey, ou scientifiques comme Alexander Fleming. Le maréchal Pétain soutiendra sa candidature à l'Académie française ; il y est élu le 23 juin 1938, au fauteuil 26, qu'occupait René Doumic, contre Paul Hazard et René Pinon. Respecté de ses pairs, il restera titulaire du fauteuil près de trente ans.