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Le déclin de l'empire Whiting / par Richard Russo
Livre
Edité par Bourgois. Paris - 2004
Bienvenue à Empire Falls, dans le Maine, autrefois puissant centre industriel à présent livré à la faillite et l'ennui. Miles Roby, le gérant du grill, nous guide dans cet univers de petites misères et grande décadence où tout le monde se connaît et où Mrs Whiting, incarnation tyrannique d'un passé prospère, règne en maître. Témoin d'une galerie de personnages drôles et bouleversants, hanté par le souvenir de sa mère, il se débat entre sa future ex-femme, son adolescente de fille, et son père, imprévisible et abusif. La découverte de lourds secrets de famille va bientôt bouleverser sa vie. Les histoires se mêlent dans cette fresque romanesque, prix Pulitzer 2002, où Richard Russo dresse avec humour et tendresse le portrait de l'Amérique d'aujourd'hui. " Russo est un subtil pointilliste des âmes, un virtuose de la psychologie qui transforme la banalité en légende. " André Clavel, L'Express.
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Audio - 2017 - Minute papillon / Alain Schneider
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Biographie
Biographie

Bill Evans est né le 16 août 1929 à Plainfield (New-Jersey). Son père, d'origine galloise, et sa mère, d'origine russe, sont mélomanes. Ils lui font étudier le piano et en « second instrument » le violon (qu'il abandonnera au bout de deux ans) puis la flûte. Adolescent, il commence à s'intéresser au jazz, et en particulier à Bud Powell, Nat King Cole, George Shearing et Lennie Tristano ; il joue dans des orchestres amateurs locaux. Il poursuit ses études musicales au Southern Louisiana College dont il sort primé en 1950. Après un bref passage dans l'orchestre du clarinettiste Herbie Field, il passe trois ans dans l'armée, comme flûtiste, en garnison à Fort Sheridan. Il gardera toujours de ces années un souvenir amer. C'est en trio piano - contrebasse - batterie, formule qu'il disait préférer à toute autre, que le pianiste Bill Evans (1929 - 1980) aura enregistré la majeure partie de ses nombreux disques (une centaine) à partir de 1960. Néanmoins, idée de producteur, il sacrifiera au don d'ubiquité grâce à la technique du re-recording (ré-enregistrement), à deux ou trois " voix " superposées, piano acoustique et électrique, les fameuses Conversations with Myself. Bien qu'il soit visiblement peu à l'aise, seul, dans un studio d'enregistrement, il grava trois albums en " solo absolu ", les Solo Sessions en Janvier 1963, Alone au Webster Hall de New York City à l'automne 1968 et Alone (again) en Décembre 1975. Alors qu'il ne répétait pratiquement jamais en trio, il confiait combien le solo était pour lui une sorte d'épreuve (préparation, concentration), on alla jusqu'à évoquer un certain malaise devant ce face-à-face avec lui même qu'il semblait redouter dans cette solitude totale. Alone donc, qui allait lui rapporter un troisième Grammy (l'équivalent américain des " Victoires de la Musique "), est un pur joyau, " un diamant qui brille de tous ses feux mais demeure plein de secret " écrit Alain Gerber dans son Bill Evans chez Fayard ; on entend là toute la quintessence de son style. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.