La couleur du silence / Cassie Dandridge Selleck

Livre

Dandridge Selleck, Cassie. Auteur

Edité par Seuil. Paris Cedex 19 - 2021

Ora Lee Beckworth était loin de se douter que son quotidien basculerait durant l'été 1976. A Mayville, dans le Sud de la Floride, le racisme a la peau dure. Alors qu'Ora engage un vagabond afro-américain que les enfants du coin surnomment M. Pecan, son entourage s'en inquiète. Surtout Blanche, sa gouvernante, elle-même afro-américaine. Car s'il est alcoolique, il n'en demeure pas moins doux et gentil notamment avec les filles de Blanche. La petite bourgade s'enflamme lorsque le corps du fils du shérif est retrouvé poignardé dans la forêt, non loin du campement de M. Pecan. Il est accusé du meurtre sans la moindre enquête. Mais Ora Lee est la seule à connaître la vérité. Vingt-cinq ans qu'elle la porte comme un fardeau écrasant. Et il est temps pour Miss Beckworth de raconter la tragique histoire de cet été à Mayville. Cassie Dandridge Selleck est née et a grandi en Floride. Diplômée en création littéraire, elle se consacre à l'écriture depuis le succès de son roman. Indignée par la mentalité ségrégationniste toujours présente aux Etats-Unis, ses écrits sont le témoignage d'une Amérique clivée. La couleur du silence est également en cours d'adaptation au cinéma et a déjà fait l'objet d'une suite. Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Isabelle Chapman

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Romans
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Biographie

Arcangelo Corelli laisse environ 82 œuvres. Ce qui a été publié de son vivant est relativement restreint : cinq numéros d'opus ; auxquels il faut ajouter l'opus 6, qu'il ne put terminer (bien que joué dès 1682), et qui fut publié à titre posthume. Ces recueils contiennent chacun douze morceaux. Les sonates adoptent la forme de la sonate d'église (sonata da chiesa) ou de la sonate de chambre (sonata da camera), et incluent, à côté de mouvements notés à l'italienne, par leur tempo (largo, vivace, allegroetc.), des mouvements hérités de la suite de danses.

Biographie

Arcangelo Corelli — né le 17 février 1653, à Fusignano (près de Ravenne), mort le 8 janvier 1713, à Rome — est un violoniste et compositeur italien. C'est un des compositeurs majeurs de la période baroque. Biographie : Corelli était le cinquième enfant d'une famille aisée de propriétaires terriens. Il reçut probablement ses premières leçons d'un professeur local avant de partir en 1666 à Bologne pour y apprendre le violon auprès de deux célèbres violonistes Leonardo Brugnoli et Giovanni Benvenuti. En 1671, il se rend à Rome et devient violoniste de l'église des Français, Saint-Louis. Il pourrait avoir voyagé en Europe — en France, en Espagne, en Allemagne, mais aucun document ne le prouve véritablement — avant de s'installer définitivement à Rome où il passa presque tout le reste de sa vie, ne la quittant que pour un court voyage à Naples. À Rome, il parvient à se placer sous le patronage de puissants protecteurs — la reine Christine de Suède, les cardinaux Benedetto Pamphilj et Pietro Ottoboni, neveu du pape régnant —, ce qui lui permet de mener une vie sans soucis financiers et de soigner particulièrement une œuvre assez réduite en nombre de pièces, mais de très grande qualité et entièrement dédiée au violon. Il se retira de la vie publique vers 1708. Il jouissait alors d'une solide aisance financière, avait une collection de tableaux de maîtres mais était généreux envers ses proches. Influence de Corelli : Sa renommée en tant que violoniste et chef d'orchestre — il lui arriva de diriger plus de 150 musiciens — était très grande, et plus encore, peut-être, que celle de compositeur dont la publication des œuvres était pourtant guettée avec impatience dans toute l'Europe. Corelli a été en contact avec de nombreux collègues musiciens : Bernardo Pasquini, Alessandro Scarlatti, etc. Georg Muffat et Georg Friedrich Haendel tinrent à le rencontrer lorsqu'ils firent, l'un comme l'autre, leur voyage en Italie. Il fit partie de plusieurs sociétés savantes : Académie de Bologne, Congrégation des virtuoses de Sainte Cécile, Académie d'Arcadie, où il prit le pseudonyme d'« Arcomelo Erimanteo ». Son influence a été très grande, à la fois dans la diffusion de formes nouvelles — sonate et concerto grosso — et dans la technique du violon. Ce rayonnement s'est exercé largement au-delà des frontières italiennes, et, par exemple, Bach et Couperin l'admiraient beaucoup. Le premier lui a emprunté un thème de sa Sonate op. 3 n° 4 pour sa Fugue d'orgue en si mineur (BWV 579). Le second en faisait, pour la musique italienne, le pendant de ce qu'était Lully pour la musique française : il lui dédia, comme à celui-ci, une « Apothéose » en musique, et s'efforça d'imiter son style dans les sonates dites « des goûts réunis ». Corelli eut par ailleurs de nombreux disciples violonistes et compositeurs qui essaimèrent dans différents pays : Geminiani, Somis, Locatelli, Gasparini... On considère généralement que Corelli est l'initiateur de la technique moderne du violon, bien qu'il ne fût pas tenté par la pure virtuosité. Il est tout à fait représentatif du style baroque italien, caractérisé par l'emploi d'une ornementation riche — qui sera reprise plus tard par Jean-Sébastien Bach —, d'un continuo composé de plusieurs instrumentistes — clavecin, violoncelle, théorbe, guitare baroque — comme l'attestent plusieurs peintures contemporaines, et d'un contraste dynamique et rythmique important séparant chaque mouvement — comme a témoigné Georg Muffat dans ses écrits. Œuvre : L'œuvre publiée de son vivant est relativement mince mais irréprochable — car il y apportait le plus grand soin — 5 numéros d'opus auxquels il faut ajouter l'opus 6 qu'il ne put terminer et qui fut publié après sa mort — bien qu'il fut joué dès 1682. Il s'agit de recueils de douze œuvres chacun : * Opus 1 : 12 sonates da chiesa (d'église) en trio (Rome, 1681) * Opus 2 : 12 sonates da camera (de chambre) en trio (Rome, 1685) * Opus 3 : 12 sonates da chiesa (d'église) en trio (Rome, 1689) * Opus 4 : 12 sonates da camera (de chambre) en trio (Rome, 1694) * Opus 5 : 12 sonates pour violon solo et continuo — N°1-6 da chiesa et N°7-12 da camera ; la douzième sonate exploite le thème de « La Folia » (Rome, 1700) * opus 6 : 12 concerti grossi : l'œuvre la plus connue est le célèbre « concerto pour la nuit de Noël », publié de façon posthume. (Amsterdam, 1714) * Sans opus: plusieurs sonates en trio (1712) Les sonates adoptent la forme de la sonate d'église (sonata da chiesa) ou de la sonate de chambre (sonata da camera), et incluent, à côté de mouvements notés à l'italienne, par leur tempo (largo, vivace, allegro, etc.) des mouvements hérités de la suite de danses. Discographie sélective : * Intégrale des sonates opus 3, Enrico Gatti, chez Arcana * Intégrale des sonates opus 5, Enrico Gatti, chez Arcana * Intégrale des sonates de chambre opus 2&4, Enrico Gatti, chez Tactus * Intégrale des concerti grossi opus 6, Chiara Banchini et l'ensemble 415, chez Harmonia Mundi * Intégrale des concerti grossi opus 6, Fabio Biondi et l'ensemble Europa Galante, chez Opus 111 * L'œuvre intégrale, Pieter-Jan Belder et Musica Amphion, chez Brilliant Classics * Corelli & co, Daniel Cuiller et Stradivaria, chez Cyprès Anecdotes : * C'est d'une de ses sonates que Michel Magne a extrait les quatre notes qui servent de thème principal à toutes les musiques et illustrations sonores du film Les tontons flingueurs de Georges Lautner. Une des scènes du film montre d'ailleurs Fernand Naudin (Lino Ventura) en train de dîner en lisant la pochette du 33 tours desdites sonates. Read more on Last.fm. 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