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Le regard et le dessin : Un récit d'apprentissage en BD / Lorène Gaydon
Livre
Edité par Premier Parallèle. Paris - 2024
Un récit d'apprentissage qui rend hommage à des grands maîtres du dessin et autres précieux pédagogues Face à une feuille blanche, on est souvent désemparé. On ne sait pas par où commencer, on se pose trop de questions. Qu'est-ce que je veux dessiner ? De quelle manière ? Quel est mon style ? Ancienne élève des Arts déco, Lorène Gaydon s'est retrouvée confrontée à toutes ces questions avant de devenir elle-même dessinatrice. En racontant, non sans humour, son apprentissage, elle livre les plus précieux conseils qu'elle a rec ? us, ceux qui l'ont véritablement fait avancer. Joyeusement accompagnée par des figures qui ont marqué son éducation artistique (enseignants, artistes, écrivains...), elle revient au fondement du dessin : le regard. Celui qu'on porte sur le monde et qui nous permet de le dessiner, chacun à notre manière. Comment j'ai appris à dessiner est un livre de transmission, écrit par une jeune femme qui a encore en tête les obstacles qu'elle a du^ surmonter. On y trouve des conseils pratiques pour se lancer, on y apprend aussi à se poser les bonnes questions pour progresser. En cela, ce livre ne propose pas une méthode de dessin ordinaire mais une série de conseils fondamentaux qui permettent de trouver son propre style, sa propre voie.
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Livre - 2021 - L'enfant étoile / Katrine Engberg
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Biographie

Henri Duparc, de son vrai nom Eugène Marie Henri Fouques Duparc, né à Paris le 21 janvier 1848 et mort à Mont-de-Marsan (Landes) le 12 février 1933, est un compositeur français. Henri Duparc, plus qu'un autre, ressent physiquement l'écartèlement, l'abîme grandissant, qui s'ouvre au cœur même de sa génération. Qu'est-ce que cette maladie nerveuse — si étrange, si imprécisément diagnostiquée par les médecins — qui s'abat implacablement sur lui, entrave sa force créatrice, sinon la tragique manifestation dans la personne de ce grand compositeur, de l'effondrement général du corps nerveux de l'Occident ? Où pour le dire avec les mots qu'il affectionne : « Pourquoi n'as-tu pas dit, ô rêve, où Dieu nous mène. Pourquoi n'as-tu pas dit s'ils ne finiraient pas, l'inutile travail et l'éternel fracas dont est faite la vie, hélas la vie humaine ? » (extrait de La Vague et la Cloche, mélodie d'Henri Duparc sur une poésie de François Coppée). Composées au prix d'un effort surhumain, les dix-sept mélodies d'Henri Duparc sont d'une grâce inouïe. Véritable équilibre apollonien, d'une lumineuse clarté, le mot répond à la note, l'accord se pose avec délicatesse sur la rime. Le cycle de ses chants s'achève en 1885. Le dernier, La Vie antérieure, aura occupé l'esprit du compositeur pendant dix ans (1874-1884). Cette célèbre poésie de Baudelaire trouve son accomplissement dans la sublime mélodie que lui accorde Duparc. En dépit de sa brièveté, la durée de son interprétation n'excède guère quatre minutes, cette œuvre a les proportions d'un vaste édifice gothique. La richesse de l'expression harmonique, le lyrisme des moindres inflexions sont extraordinaires. Henri Duparc n'aura qu'un seul élève, l'amiral compositeur Jean Cras (1879-1932), qu'il appelait affectueusement « le fils de mon âme ». Henri Duparc a trente-huit ans (en 1885) quand la maladie nerveuse dont il est atteint depuis de nombreuses années, l'empêche définitivement de composer… Il s'éteint le 12 février 1933. Bien qu'il ait détruit un grand nombre de ses compositions, ce qui nous reste de son œuvre est grandiose. D'une grande facture, sensibles et expressives, ses dix-sept mélodies ont suffi à faire de lui un compositeur d'exception. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.