The Singles + / Dusty Springfield, chant

Audio

Springfield, Dusty

Edité par Productions Stephanie Bertrand - 2003

Contient
  • I only want to be with you, Once upon a time, Stay awhile, Whishin' and hopin', Everyday I have to cry, I just don't know what to do with myself, My colouring book, All cried out, Guess who, Losing you, Summer is over (The), Your hurtin' kind of love, In the middle of nowhere, Some of your lovin', Little by little, You don't have to say you love me, Goin' back, All I see is you, I'll try anything, Look of love (The), Give me time, What it's gonna be ?, Sweet ride, I close my eyes and count to ten, Son of a preacher man, Don't forget about me, Breakfest in bed, Windmills of your mind (The), I don't wanna hear it anymore, In the land of make believe, Willie and Laura Mae Jones, Am I the same girl, A brand new me, Morning please don't come, Silly silly fool, I wanna be a free girl, How can I be sure, Spooky, Yesterday when I was young, Who gets your love
1 exemplaire disponible

Plus d'infos

Se procurer le document

Pour réserver un exemplaire, il est nécessaire d'être authentifié. Les réservations dépendent de votre abonnement en cours.

Audio - 1998 - Les Incontournables / John Lee Hooker

Disponible à BIBLIOTHEQUE MUNICIPALE

Musique & Cinéma | +1 Musique & Cinéma & Multimédia | 1.1 HOO | CD musique | En rayon

Suggestions

Du même auteur

Lady Jazz / Norah Jones, Lisa Ekdahl, Diana Krall, Ella Fitzgerald...[et al.] | Jones, Norah

Lady Jazz / Norah Jones, Lisa Ekdahl, Diana K...

Audio | Jones, Norah | 2003

Good morning England : bande originale du film de Richard Curtis / Duffy, The Kinks, The Turtles... [et al.] | Duffy

Good morning England : bande originale du fil...

Audio | Duffy | 2009

The Very best of Easy Listening / Andy Williams, Jack Jones, Johnny Mathis... [et al.] | Williams, Andy

The Very best of Easy Listening / Andy Willia...

Audio | Williams, Andy | 2007

Ceux qui ont emprunté ont aussi emprunté

Moi, moche et méchant 2 / Chris Renaud et Pierre Coffin, réal. | Renaud, Chris. Metteur en scène ou réalisateur

Moi, moche et méchant 2 / Chris Renaud et Pie...

Vidéo | Renaud, Chris. Metteur en scène ou réalisateur | 2010

Ayant abandonné la super-criminalité et mis de côté ses activités funestes pour se consacrer à la paternité et élever Margo, Edith et Agnès, Gru, et avec lui, le professeur Néfario et les Minions, doivent se trouver de nouvelles o...

Le Hobbit II : la désolation de Smaug / Peter Jackson, réal. | Jackson, Peter. Metteur en scène ou réalisateur. Scénariste. Producteur

Le Hobbit II : la désolation de Smaug / Peter...

Vidéo | Jackson, Peter. Metteur en scène ou réalisateur. Scénariste. Producteur | 2013

La petite bande continue son chemin vers l'Est, où elle croise Beorn, le Changeur de Peau, et une nuée d'araignées géantes au coeur de la Forêt Noire qui réserve bien des dangers. Alors qu'ils ont failli être capturés par les redo...

En savoir plus

Biographie

John Lee Hooker, né le 22 août 1917 à Clarksdale (Mississippi, États-Unis), et mort le 21 juin 2001 à Los Altos (Californie, États-Unis), est un guitariste et chanteur de blues américain. Son style, unique et authentique à la fois, en a fait l'un des artistes les plus importants de cette musique, et son influence sur le blues rock et le rock durant tout le XXe est considérable. Parmi ses titres les plus connus : Boogie Chillen (1948), I'm in the Mood (1951) et Boom Boom (1962), les deux premiers s’étant classés 1 dans les charts (diagrammes des ventes) R&B du Billboard magazine. En France, Shake It Baby a remporté un certain succès en 1963 et a longtemps fait danser dans les boums ou surboums des années 1960. John Lee Hooker entre au Rock and Roll Hall of Fame en 1991.

Biographie

John Lee Hooker est un célèbre guitariste bluesman américain très influent sur la musique blues et rock des années soixante à nos jours. Son style unique et authentique à la fois en a fait l'un des artistes les plus importants de cette musique, et son influence sur le Blues et le Rock durant tout le XXe siècle est considérable. Né le 22 août 1917 près de Clarksdale dans le Mississippi, John Lee Hooker est le dernier d'une famille pauvre de 11 enfants. Durant sa prime enfance, il n'est exposé à la musique que sous la forme de chants religieux tels que le Gospel, seule forme musicale que son père, pasteur de son état, autorise à sa famille. Il ne se familiarise avec le Blues qu'après la séparation de ses parents en 1921 et le remariage de sa mère avec Willie Moore, ouvrier agricole et bluesman à ses heures, qui lui apprend des rudiments de guitare. Toute sa vie, John Lee Hooker rendra hommage à son beau-père, qu'il considère à l'origine de son style très personnel. En 1923, le père de Hooker meurt, et John Lee, âgé de seulement 15 ans, fuit son foyer. Il ne reverra jamais ni sa mère ni son beau-père. Après diverses péripéties sur lesquelles les sources diffèrent, il s'installe en 1943 à Detroit, alors capitale de l'industrie automobile, dans l'intention d'y exercer un travail d'ouvrier. Dans le même temps, il tente de trouver des engagements de musiciens dans les bars et les bordels de Hasting Street, le quartier des plaisirs de la ville. Il y connaît des débuts difficiles dus au manque de puissance sonore de son instrument : il faut parvenir à couvrir le bruit des consommateurs, voire des orchestres concurrents ! Il adopte donc très tôt les premières guitares électriques, qui permettent, grâce à leurs micros intégrés et à un amplificateur, de jouer plus fort que n'importe qui, et développe un style agressif et hypnotique, exploitant au mieux l'énergie musicale de l'électricité. En 1948, il enregistre son premier disque, la chanson Boogie Chillen, dans un style rudimentaire, proche de la parole, qui deviendra sa marque de fabrique. La "première carrière" de John Lee Hooker Les musiciens noirs étant très mal payés à cette époque, Hooker, malgré le succès de ses disques, est contraint de courir les studios et les contrats, enregistrant parfois plusieurs fois le même morceaux, avec des variations minimes, sous des pseudonymes tels que "John Lee Booker," "Johnny Hooker," ou "John Cooker". Sa musique, très libre sur le plan rythmique, supportant mal l'accompagnement, il est le plus souvent enregistré seul, marquant le rythme à l'aide d'une capsule de Coca Cola clouée sous sa chaussure. Dans les années 50, les temps sont durs pour les musiciens de Blues américains comme John Lee Hooker : une partie du public noir se désintéresse de leur musique au profit du Rhythm and Blues, plus entraînant et dansant. Quant aux blancs, le marché très compartimenté de la musique aux États Unis, allié au racisme ambiant, les empêchent d'avoir simplement accès au Blues. Durant cette période, de nombreux bluesman, ne parvenant plus à survivre de leur art, sont contraints de redevenir ouvriers ou métayers. John Lee Hooker parvient tant bien que mal à se maintenir à flot, mais sa carrière stagne. Jusqu'à ce qu'un événement inattendu ne vienne sauver la donne ... John Lee Hooker, icône du Blues Avec les années 60 vient en effet le British Blues Boom : des musiciens anglais comme les Rolling Stones, Eric Clapton ou John Mayall redécouvrent le Blues, le pratiquent et sortent de l'oubli quantité de musiciens légendaires, dont Hooker. Le public européen, avide d'authenticité, lui fait un triomphe dont lui-même, habitué au mépris des blancs aux États-Unis, est stupéfait. John Lee Hooker devient alors une véritable star dans le monde entier, aux côtés d'autres grands musiciens fraichement redécouverts comme Muddy Waters ou Howlin' Wolf.Il enregistre avec les plus grands groupes de Blues électrique tels que Canned Heat, et démarre une carrière internationale fructueuse qui durera jusqu'à sa mort. En 1980, il joue son tube Boom Boom dans le film The Blues Brothers. Pour respecter son style d'improvisation, sa prestation est filmée et enregistrée en live, au contraire de bien des films musicaux qui utilisent le playback. Il se joint en 1989 à d'autres musiciens prestigieux tels que Carlos Santana et Keith Richards pour enregistrer l'album The Healer, qui lui vaudra un Grammy Award du Meilleur disque de Blues traditionnel. Il chante également plusieurs morceaux aux côtés de Van Morrison, dont "Never Get Out of These Blues Alive", "The Healing Game" et "I Cover the Waterfront", et se produit avec lui sur scène. A la fin de sa vie, Hooker s'installe à San Francisco, où il ouvre un club de Blues nommé d'après son plus grand succès, Boom Boom Room. Il tombe malade en 2001, juste avant une tournée en Europe, et meurt peu après, à l'âge de 83 ans. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.

Artistes similaires