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Death Comes to Pemberley / PD James
Livre
Edité par Faber and Faber. London - 2012
The year is 1803, and Darcy and Elizabeth have been married for six years. There are now two handsome and healthy sons in the nursery, Elizabeth's beloved sister Jane and her husband Bingley live nearby and the orderly world of Pemberley seems unassailable. But all this is threatened when, on the eve of the annual autumn ball, as the guests are preparing to retire for the night a chaise appears, rocking down the path from Pemberley's wild woodland. As it pulls up, Lydia Wickham - Elizabeth's younger, unreliable sister - stumbles out screaming that her husband has been murdered. Inspired by a lifelong passion for the work of Jane Austen, P.D. James masterfully recreates the world of "Pride and Prejudice", and combines it with the excitement and suspense of a brilliantly-crafted crime story. "Death Comes to Pemberley" is a distinguished work of fiction, from one of the best-loved, most- read writers of our time.
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Biographie

Stanley Gayetzsky, plus connu sous le nom de Stan Getz (2 février 1927-6 juin 1991) était un musicien de jazz américain. Il est considéré comme l'un des plus grands joueurs de saxophone ténor. On le surnommait "The Sound", "Le Son" (source : "Dictionnaire du jazz" par Franck Ténot, éd. Larousse), en raison de sa sonorité ample, pure et riche que John Coltrane lui-même enviait. Stan Getz, né le 2 février 1927 à Philadelphie, fait ses débuts au saxophone ténor chez Dick Rogers en 1942, alors qu'il avait 15 ans. Avant d'être engagé par Stan Kenton en 1944, il effectue des stages chez Jack Teagarden, Dale Jones et Bob Chester. Puis il joue avec les orchestres de Jimmy Dorsey, Benny Goodman, Randy Brooks, Buddy Morrow et Herbie Fields. Installé en Californie, il s'associe avec Butch Jones, dirige un trio, et est engagé par Woody Herman (1947-1949). Au sein de cette formation, il participe aux travaux des "Brothers", surnom de la section des saxophonistes. On y trouve Zoot Sims, Herbie Stewart et Serge Chaloff. Leur style se caractérise par une belle homogénéité et beaucoup de véhémence. Plus tard, Stan Getz prend la tête d'un petit groupe comprenant Jimmy Raney, Bob Brookmeyer, Al Haig ou Horace Silver. Il se produit en Scandinavie en 1951 et 1955, collabore aux tournées du J.A.T.P. (1957-1958), réside souvent en Europe (1958-1959). En 1962,il découvre le Brésil et la bossa nova. Il enregistre à New York en 1963 le fameux album Getz/Gilberto avec le "père" de la bossa nova, João Gilberto et aussi la participation de son épouse Astrud notamment dans une version du standard d'Tom Jobim et Vinícius de Moraes : A Garota de Ipanema qui deviendra en anglais The Girl from Ipanema et sera la version de ce morceau la plus connue et la plus jouée sur les radios. C'est Getz lui-même qui eut l'idée de faire reprendre les paroles de la chanson en anglais par Astrud Gilberto, qui n'était pas connue comme chanteuse à l'époque, les paroles que João chante au début, en portugais. Il dirige de petits groupes, parmi lesquels figurent Gary Burton, la chanteuse Astrud Gilberto, le guitariste Charlie Byrd et se produit dans de nombreuses salles, dont le Go-Go de New York, ou il enregistre, avec Astrud, l'album Getz au Go-Go qui contient notamment une version très personnelle d'un autre standard de Jazz : Summertime. Il fut un des heureux profiteurs de cette vogue de la bossa et découvreur de jeunes talents comme les pianistes Chick Corea, Joanne Brackeen et Andy Laverne. Il a aidé aussi à la redécouverte d'un savoureux pianiste en la personne de Jimmy Rowles. Il a joué jusqu'à la fin de sa vie avec beaucoup de musiciens, essentiellement en quartet, avec toujours autant d'inspiration. Stan Getz est le plus important saxophoniste blanc. Chef de file de l'école cool, il combine une sonorité douce et feutrée au phrasé et au découpage rythmique de Lester Young. Tendre, éthérée, élégante, sa musique s'oppose à la rudesse des disciples de Coleman Hawkins, à la crudité du blues et aux excentricités du bebop. Elle eut une influence prépondérante sur l'évolution du jazz, d'abord par l'intermédiaire des musiciens blancs de la côte Ouest, ensuite par son emprise sur les conceptions de Miles Davis. Vers le milieu des années 1950, au moment où le hard bop supplante le cool, Stan Getz évolue à l'intérieur même de son style, vers une expression plus virile. Sa sonorité se dilate; sa technique lui permet une exploitation plus totale des ressources de l'instrument; il mêle douceur et punch, devient un artiste complet, improvisateur toujours en verve, véhément et raffiné, assumant les tâches les plus ambitieuses comme les plus routinières, à l'aise aussi bien avec Dizzy Gillespie ou Chet Baker qu'avec des orchestres à cordes ou des rythmes brésiliens. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.