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Chapter one / Kimberose
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Edité par Musicast - L'Autre Prod - 2018
11 titres puisant dans les racines de la soul en y apportant la modernité d'un des groupes les plus intéressants de sa génération. Kimberly Kitson Mills est une chanteuse sidérante, une tornade de feeling, revisitant cette musique désormais ancienne qu'est la soul pour lui redonner vigueur et nerf. Sa voix convoque instantanément la mémoire des divas douloureuses du jazz et de la soul, de Billie Holiday à Amy Winehouse en passant par Nina Simone. Solaire et fragile à la fois, Kim, petite française issue de l'immigration (d'un père anglais et d'une mère immigrée du Ghana à Paris), à 26 ans, est prête et armée pour partager cette évidence : la musique de l'âme a encore tant à dire, et tellement d'extases à offrir. Kimberose enregistre un EP de 4 titres en 2017, qui lui vaut un passage remarqué dans "Taratata", puis "C à vous". Son EP se classe alors immédiatement dans les meilleures ventes Françaises, grâce au titre "I'm Sorry". Les salles vont grossir, qui accueilleront Kimberose en ce début 2018, pour une tournée qui s'annonce enchanteresse. Car si le EP et les prestations live de Kimberose restaient dans une facture très classique, ce premier opus osera emprunter à des territoires plus modernes, pop, mais à l'opposé des formatages.
- Contient
- Needed you
- I'm sorry
- I'm broke
- Reason
- Waiting for you
- Where did you sleep last night ?
- Wolf
- About us
- I'm a fool
- Strong woman
- Mine
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Biographie

Biographie

Johnny Clarke est chanteur de reggae jamaïcain né à Whitfield Town en Jamaïque le 12 janvier 1955. Il grandit dans un ghetto de sa ville natale. À 17 ans, il enregistra sa première chanson, intitullée "God Made The Sea & Sun". Le seul moyen de se sortir du ghetto est alors les gang ou la musique. Johnny opte pour le second choix et participe à de nombreux concours de chants. Il en gagne finalement à 17 ans. Repéré par le producteur Rupie Edwards, il enregistre son premier single God made the sea and the sun sur le label Success. Mais le succès n’étant pas au rendez-vous, il persévère avec deux titres July et Everyday Wandering qui connaissent une meilleure réception du public. Malheureusement Johnny et Ruppie ont quelques problèmes d’ententes ce qui les mène à la rupture. En 1974, Johnny Clarke rencontre Bunny Lee, l’un des producteurs les plus influents de l’île. ce dernier va en faire le leader de son équipe de chanteur qui comporte à l’époque Horace Andy, Linval Thompson et autres Cornell Campbell. C’est l’époque de très nombreux tubes comme Move Out of Babylon Rastaman, None shall escape the judgment, le titre de son premier album sorti chez Total Sound, Rock With Me Baby, Enter Into His Gates With Praise, qui donne son nom à un autre album de Johnny, et une reprise de No woman no cry qui fait un carton dans son île natale. Grâce à cette collaboration Johnny Clarke signe chez Virgin et va sortir, toujours avec Bunny Lee aux manettes, parmi ses meilleurs morceaux : Cold it Up, Too Much war, Tears on my pillow et bien sûr Rockers time is now. Avec le début des 80’s, Johnny Clarke connaît un succès décroissant au même titre que son producteur et mentor Bunny Lee. Installé au Royaume-Uni, Johnny Clarke travaille alors avec Mad Professor, Jah Shaka, Steely & Clevy et sort deux albums « Yard Style » (sur lequel on peu apprécier Nuclear Weapon et Mount Zion) et « Give Thanks ». Il enregistre un très bon album de digital avec le roi en la matiere: King Jammy, avec Think About It où il demontre qu'il est toujours d'actualité. Il sort en 1997 un nouvel album produit par Niney the Observer, « Rock with me », mais c’est véritablement grâce au label Blood & Fire qui sort une compilation de ses meilleurs titres de sa plus belle époque « Dreader Dread : 1976-78 » qu’il se rappelle à notre bon souvenir. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.