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Sur le toit de l'enfer / Ilaria Tuti
Livre
Edité par Robert Laffont. Paris - 2018
Dans les montagnes sauvages du Frioul, en Italie, le commissaire Teresa Battaglia, la soixantaine, la langue acérée et le coeur tendre, est appelée sur les lieux d'un crime pour le moins singulier : un homme a été retrouvé mort, les yeux arrachés. A côté de lui, un épouvantail fabriqué avec du cuivre, de la corde, des branchages... et ses vêtements ensanglantés. Pour Teresa, spécialiste du profilage, cela ne fait aucun doute : le tueur frappera à nouveau. Elle va devoir rassembler toute son énergie et s'en remettre à son expérience pour traquer cette bête humaine qui rôde dans les bois. Si tant est que sa mémoire ne commence pas à lui faire défaut...
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Audio - 1998 - Best of / Ray Barretto, perc.
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Biographie

Biographie

Ray Barretto est né le 29 avril 1929 à New York, dans une famille portoricaine. Ce n’est que lors de son service militaire à Munich (Allemagne) qu’il commence à se produire à l’Orlando Jazz Club. Revenu à New York en 1949, il continue à tourner de club en club, avant d’être engagé par Eddie Bonnemere. En première partie d’un concert de Charlie Parker, à l’Apollo de Harlem, Ray Barretto se fait remarquer par le maître du be-bop, qui l’invite à poursuivre la session avec son orchestre. Par la suite, il remplace Mongo Santamaría aux côtés de Tito Puente. Parallèlement, il prête ses congas dans de multiples sessions de studio, notamment avec Herbie Mann. En 1963, son premier succès, « El watusi » est aussi le premier titre latino à entrer au Billboard. Quelques albums plus tard, il rejoint le label Fania, pour qui il grave « Acid », une première approche des fusions à venir. Cette période faste le voit produire de nombreux albums (The Message, Power, Indestructible, Barretto) et collaborer avec des noms de la musique « non-latino ». Sans être jamais une star, il est surtout connu pour ses concerts enflammés, ou salsa et latin-jazz ne laissent aucun répit à ses paumes et aux danseurs. Il poursuit tout au long des années 80 et 90 une carrière de “pape des congas“, en sillonnant les États-Unis, l’Europe et l’Amérique du Sud. Le 17 février 2006, à la suite d’un pontage coronarien dans un hôpital du New Jersey, son coeur émet une ultime pulsation. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.