Main basse sur la ville

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Rosi, Francesco (Réalisateur)

Sous l'impulsion de l'entrepreneur Nottola, la municipalité de Naples transforme des terrains agricoles en terrains constructibles. Les spéculateurs construisent sans précaution et le chantier provoque l'écroulement d'une maison ancienne et des morts. Ce drame ayant lieu peu avant les élections municipales, les débats font rage dans la majorité qui cherche à évincer Nottola tandis que l'opposition, menée par le conseiller communiste De Vita, pousse à la création d'une commission d'enquête.

Malgré les pressions de toutes parts, cette commission est créée et va tenter d'identifier les responsabilités.

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Biographie

Bruno Coulais, né le 13 janvier 1954 à Paris, est un compositeur français de musique de film et de musique contemporaine. Au cinéma, il est surtout connu pour sa bande originale de Microcosmos : Le Peuple de l'herbe (1996), Himalaya : L'Enfance d'un chef (1999), Les Rivières pourpres (2000) et Les Choristes (2004).

Biographie

Ayant d'abord reçu une formation classique (violon, piano) le destinant à composer de la musique de concert contemporaine, il s'oriente progressivement vers le cinéma non par volonté mais suite à une série de rencontres, l'une des plus marquantes ayant été celle du réalisateur François Reichenbach qui lui confia, en 1977, la musique du documentaire Mexico Magico. Il composera sa première musique pour un long-métrage en 1986, avec La Femme secrète de Sébastien Grall. Jusqu'à la fin des années 1990, sa carrière reste assez discrète, avec beaucoup de travaux pour la télévision. On retrouve souvent son nom sur les téléfilms de Gérard Marx ou Laurent Heynemann, et au cinéma, il est remarqué pour sa collaboration, à trois reprises, avec Christine Pascal (Le petit prince a dit, 1992), ou encore sur un film comme Le Fils du requin d'Agnès Merlet (1993). En 1994, il rencontre Josée Dayan, téléaste qui lui permet de composer une musique assez remarquée sur le feuilleton TV La Rivière Espérance (France 2, automne 1995) et avec laquelle il collaborera à nouveau par la suite, sur d'autres superproductions (Le Comte de Monte-Cristo, Balzac) comme sur des téléfilms plus intimistes (Les Nuiteux). Mais le grand tournant a lieu en 1996 lorsqu'il rencontre Claude Nuridsany et Marie Pérennou, les deux réalisateurs du documentaire Microcosmos. Ce film singulier, qui laisse une grande place à la musique, obtient un grand succès et le met au premier plan des compositeurs les plus demandés du cinéma français. Le César de la meilleure musique de film lui ainsi est décerné en 1997, ainsi qu'une Victoire de la musique. Cette notoriété est définitivement confirmée avec les bandes originales d'Himalaya (1999, 2e César) et Les Rivières pourpres (2000), et depuis le nom de Bruno Coulais semble se retrouver systématiquement sur les nouveaux "blockbusters" à la française (Belphégor, Vidocq), tout en étant encore associé, paradoxalement, à des films beaucoup plus confidentiels. Cependant, après Le Peuple migrateur, en 2001, Coulais annonce son désir de réduire ses contributions au cinéma et de se consacrer à d'autres projets (création d'un opéra pour enfants, projets avec Akhenaton ou encore avec le groupe corse A Filetta avec lequel il travaille depuis sa musique pour Don Juan de Jacques Weber en 1998). On le retrouve cependant en 2002 sur un dessin animé, L'Enfant qui voulait être un ours, et en 2004 sur Agents secrets de Frédéric Schoendoerffer et surtout sur le grand succès de l'année, Les Choristes de Christophe Barratier, dont la musique obtient un succès aussi considérable que celui du film, ce qui vaudra à Coulais son troisième César. Depuis, les collaborations de Coulais au cinéma semblent limitées aux réalisateurs avec lesquels il a déjà expérimenté une certaine affinité, en particulier Jacques Perrin, Frédéric Schoendoerffer, James Huth (Brice de Nice, 2005). En 2005, il dirige dans la cathédrale de Saint-Denis son "Stabat Mater" avec la participation de Robert Wyatt. Le style musical de Bruno Coulais peut être très différent d'une bande originale à une autre, cependant quelques constantes semblent se dégager : goût pour l'opéra et pour la voix humaine (en particulier celle d'enfants), pour la recherche de sonorités originales, pour les instruments extra-européens et le mélange de cultures musicales, et enfin, une tendance certaine à priviligier la notion d'ambiance (influencée par la lumière du film) à celle de narration. Dans l'ensemble, et contrairement à ses confrères Alexandre Desplat, Philippe Rombi, ses musiques ne doivent quasiment rien à une éventuelle "tradition française" de la musique de film (de Maurice Jaubert à Philippe Sarde en passant par Georges Delerue), ni même pour des musiciens de cinéma d'autres nationalités (malgré son intérêt affiché pour un compositeur comme Howard Shore), tant ses références musicales se situent essentiellement ailleurs (musiques du monde, musique contemporaine... ). De plus, indépendamment de sa notoriété et du succès commercial de certains disques (en particulier Himalaya, le Peuple Migrateur, et, surtout, Les Choristes) il est significatif de constater que Coulais n'est pas toujours le compositeur le plus apprécié ou estimé chez les amateurs spécialistes de musique de film, sans doute plus attachés à la tradition symphonique et narrative hollywoodienne. Il demeure néanmoins une personnalité tout à fait originale et marquante du cinéma français, mais aussi du monde musical en général, depuis la fin des années 90. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.

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