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Blinking lights and other revelations / Eels
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Edité par Vagrant - 2005
- Contient
- Theme from Blinking lights
- From which I came, A magic world
- Son of a bitch
- Blinking lights
- Trouble with dreams
- Marie floating over the backyard
- Suicide life
- In the yard, behind the church
- Railroad man
- The other shoe
- Last time we spoke
- Mother Mary
- Going fetal
- Understanding salesman
- Theme frop a pretty girl taht makes you believe God exists
- Checkout blues
- Bliking lights
- Dust of ages
- Old shit / New shit
- Bride of theme from Blinking lights
- Hey man, Now you're really living
- I'm going to stop pretending that I didn't break your heart
- To lick your boots
- If you see Natalie
- Sweet li'l thing
- Dusk : a peach in the orchard
- Whatever happened to soy the bomb
- Ugly love
- God's silence
- Losing streak
- Last days of my bitter heart
- The stars shine in the sky tonight
- Things the grandchildren should know
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Audio - 2005 - Blinking lights and other revelations / Eels
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Biographie
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Biographie

Eels est un groupe de rock américain dont l'élément central est Mark Oliver Everett, auteur, compositeur, interprète et multi-instrumentiste ayant déjà enregistré quelques albums sous le pseudonyme de « E » précédemment à la formation du groupe. Everett choisit les musiciens qui l'entourent en fonction des besoins du moment, le seul point fixe étant Jonathan « Butch » Norton à la batterie. La première incarnation de Eels est en outre composée de Tommy Walters à la basse. Leur premier album, Beautiful Freak, sort en 1996. C'est également le premier album édité par la nouvelle maison de disque créée par Steven Spielberg, Jeffrey Katzenberg et David Geffen : SKG. Les morceaux "Novocaine for the Soul" et "Susan's House" sont des succès, et le clip du premier sera nominé pour plusieurs MTV awards. Parfois perçu comme un produit marketing à faible espérance de vie à la sortie de son premier opus, notamment à cause de la signature du label grand public Dreamworks, Eels se révèle au fil des albums un groupe alternatif, original et créatif. En 1997 et 1998, suite à une série de drames familiaux (le suicide de sa sœur Elizabeth en 1996 et le cancer du poumon qui emporta sa mère, Nancy), Everett écrit puis enregistre Electro-Shock Blues qui évoque ces événements difficiles. Malgré un succcès commercial moins affirmé que l'album précédent, le disque séduit son public et les clips des simples "Last Stop: This Town" et "Cancer for the Cure" sont de nouveau nominés pour les MTV Awards. Daisies of the Galaxy, qui lui succède, marque une évolution significative : les arrangements sont plus complexes et l'album plaît plus à la critique qu'au grand public. La tournée qui s'ensuit implique un orchestre étoffé de six musiciens jouant une grande variété d'instruments. Souljacker, sorti en 2001, voit un Mark Olivier Everett revenir transformé en rocker barbu et corrosif à souhait. Le disque déroute ses fans mais E reste fidèle à ses idées. Shootenanny, en 2003, est un album de blues, dans lequel E apparaît assagi, posé et solitaire. Enfin, le double album Blinking Lights and Other Revelations en 2005, salué par la critique, fait la synthèse des dernières périodes de Eels. La tournée qui suit voit E évoluer avec des musiciens classiques, dont quatre violons et une contrebasse, immortalisée sur l'album Eels With String Live At Town Hall ainsi que sur le DVD du même nom. Loin de l'agitation qui entoura ses débuts, Eels continue de construire une œuvre riche et prolifique dans le rock indépendant. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.