0 avis
Le Decameron / Pier Paolo Pasolini, réal.
Vidéo
Edité par TF1 Vidéo - 1971
Un film composé de huit sketches adaptés des fameux contes paillards de Boccace. Les protagonistes sont : un jeune marchand qui aide des voleurs à piller la tombe d'un cardinal, un bûcheron qui tente de se faire engager comme jardinier dans une communauté de religieuses, une femme infidèle qui cherche à dissimuler à son mari la présence de son amant, un libertin qui abuse d'un innocent moine, deux jeunes gens surpris par le père de celle-ci, deux profiteurs ayant peur de l'enfer ainsi qu'un prêtre qui prétend pouvoir transformer une femme en jument. . De tous ces récits, Pasolini en retiendra 10 qu'il va lier en faisant revenir ça et là 2 ou 3 personnages, notamment celui de Giotto, venu à Naples pour réaliser une série de fresque...
- Sujets
- Classification
- Vidéo Fiction Adulte
- Classification locale 1
- Film
Se procurer le document
Pour réserver un exemplaire, il est nécessaire d'être authentifié. Les réservations dépendent de votre abonnement en cours.
Livre - 2021 - L'enfant étoile / Katrine Engberg
Disponible à BIBLIOTHEQUE MUNICIPALE
Adulte | +1 Fiction & littérature | P ENG | LIVRES | En rayonAutre format
Issus de la même oeuvre
En savoir plus
Biographie

Henri Duparc, de son vrai nom Eugène Marie Henri Fouques Duparc, né à Paris le 21 janvier 1848 et mort à Mont-de-Marsan (Landes) le 12 février 1933, est un compositeur français. Henri Duparc, plus qu'un autre, ressent physiquement l'écartèlement, l'abîme grandissant, qui s'ouvre au cœur même de sa génération. Qu'est-ce que cette maladie nerveuse — si étrange, si imprécisément diagnostiquée par les médecins — qui s'abat implacablement sur lui, entrave sa force créatrice, sinon la tragique manifestation dans la personne de ce grand compositeur, de l'effondrement général du corps nerveux de l'Occident ? Où pour le dire avec les mots qu'il affectionne : « Pourquoi n'as-tu pas dit, ô rêve, où Dieu nous mène. Pourquoi n'as-tu pas dit s'ils ne finiraient pas, l'inutile travail et l'éternel fracas dont est faite la vie, hélas la vie humaine ? » (extrait de La Vague et la Cloche, mélodie d'Henri Duparc sur une poésie de François Coppée). Composées au prix d'un effort surhumain, les dix-sept mélodies d'Henri Duparc sont d'une grâce inouïe. Véritable équilibre apollonien, d'une lumineuse clarté, le mot répond à la note, l'accord se pose avec délicatesse sur la rime. Le cycle de ses chants s'achève en 1885. Le dernier, La Vie antérieure, aura occupé l'esprit du compositeur pendant dix ans (1874-1884). Cette célèbre poésie de Baudelaire trouve son accomplissement dans la sublime mélodie que lui accorde Duparc. En dépit de sa brièveté, la durée de son interprétation n'excède guère quatre minutes, cette œuvre a les proportions d'un vaste édifice gothique. La richesse de l'expression harmonique, le lyrisme des moindres inflexions sont extraordinaires. Henri Duparc n'aura qu'un seul élève, l'amiral compositeur Jean Cras (1879-1932), qu'il appelait affectueusement « le fils de mon âme ». Henri Duparc a trente-huit ans (en 1885) quand la maladie nerveuse dont il est atteint depuis de nombreuses années, l'empêche définitivement de composer… Il s'éteint le 12 février 1933. Bien qu'il ait détruit un grand nombre de ses compositions, ce qui nous reste de son œuvre est grandiose. D'une grande facture, sensibles et expressives, ses dix-sept mélodies ont suffi à faire de lui un compositeur d'exception. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.