Petit Lapin rêve de gloire / Alexandre Chardin, Mylène Rigaudie

Livre

Chardin, Alexandre (1971?-....). Auteur | Rigaudie, Mylène (1983-....). Auteur

Edité par Casterman. [Paris] - 2013

Achab n'avait que quelques heures quand sa maman, pour son bonheur, lui conta qu'un sombre sorcier se cachait devant le terrier, prêt à raccourcir ses oreilles pour les cuire avec des groseilles.

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Audio - 2009 - Idomeneo / Wolfgang Amadeus Mozart

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Biographie

Edvard Hagerup Grieg (/ˈɛdʋɑʁd ˈhɑːgəʁʉp ˈgʁɪg/), né le {{Date de naissance|15 juin 1843|en musique classique}} à Bergen et mort le {{Date de décès|4 septembre 1907|en musique classique}} dans la même ville, est un compositeur et pianiste norvégien de la période romantique. Sa découverte en 1863 du folklore norvégien et de ses danses paysannes fera de lui un militant inépuisable d'un art musical national, pour toute sa vie. Grand harmoniste (auquel ne seront pas indifférents Claude Debussy, Maurice Ravel et Olivier Messiaen), maître de la petite forme (pièces pour piano), il composa ses œuvres les plus célèbres dans le domaine orchestral comme le Concerto pour piano en la mineur et Peer Gynt, musique de scène composée pour le drame d'Henrik Ibsen.

Biographie

Edvard Hagerup Grieg (né le 15 juin 1843, à Bergen – décédé le 4 septembre 1907, également à Bergen) est un compositeur et pianiste norvégien de la période romantique. Il est surtout connu pour ses œuvres Concerto pour piano en la mineur et Peer Gynt, la célèbre musique de scène spécialement composée pour le drame d'Henrik Ibsen. Enfance à Bergen Fils du consul britannique à Bergen, Alexander Grieg, et de Gesine Grieg, Edvard Hagerup Grieg est né le 15 juin 1843. D'ascendance écossaise par son père, il est élevé dans une famille de musiciens ; sa mère, pianiste, est son premier professeur de piano et l'initie aux classiques et aux romantiques, Carl Maria von Weber, Frédéric Chopin et Felix Mendelssohn Bartholdy principalement. Départ pour le conservatoire Durant l'été 1858, Grieg rencontre le légendaire violoniste norvégien Ole Bull, qui est un ami de la famille et accessoirement le beau-frère de sa mère. Bull remarque le talent du jeune homme alors âgé de quinze ans, et persuade ses parents de l'envoyer au conservatoire de Leipzig pour développer ses talents. À partir de l'automne 1858, Grieg suit donc l'enseignement des plus grands maîtres au conservatoire tel Carl Reinecke, Ernst Ferdinand Wenzel ou Ignaz Moscheles, son ami de longue date. Il y entend beaucoup de bonne musique, comme le concerto pour piano de Schumann, interprété par Clara Schumann. Ses années de conservatoire ne lui laissent pas de très bons souvenirs car il y trouve l'enseignement dépourvu d'intérêt. En outre, il est atteint de pleurésie et souffre toute sa vie de troubles respiratoires. Malgré cela, quatre ans plus tard, il quitte l'institution avec de solides connaissances d'instrumentiste et de compositeur. Il donne son premier concert en 1862, dans sa ville natale de Bergen. Départ pour le Danemark En 1863, Grieg part pour Copenhague, où il reste trois années. Les préceptes du plus célèbre des conservatoires de l'Allemagne lui semblent encombrants. Il y rencontre les compositeurs danois Johann Peter Emilius Hartmann et Niels Gade, ainsi que le compositeur de l'hymne national norvégien (Ja, vi elsker dette landet), Rikard Nordraak, qui devient pour Grieg un ami proche et une grande source d'inspiration. « Il me tomba des écailles des yeux », écrivit-il plus tard, « C'est par Nordraak que j'appris à connaître les chants populaires du Nord et même ma propre nature. Nous nous conjurâmes contre le scandinavisme efféminé de Gade, mâtiné de Mendelssohn, et nous nous engageâmes avec enthousiasme dans la voie nouvelle sur laquelle marche à présent l'école du Nord... ». Il lui donne en effet le goût de la musique traditionnelle norvégienne, étant lui-même passionné par l'histoire, les légendes et les mélodies folkloriques de son pays. Nordraak meurt peu de temps après ; Grieg compose alors une marche funèbre en son honneur. Durant son séjour au Danemark, Grieg se fiance avec la cantatrice Nina Hagerup, qui n'est autre que sa cousine. Il l'épouse en 1867 (les mariages entre cousins étant plus courants à cette époque). L'année suivante, ils donnent naissance à leur unique fille, Alexandra. Durant l'été 1869, l'enfant tombe malade et meurt à l'âge de dix-huit mois. Après la mort de sa fille, il n'a pas d'autre enfant, étant occupé à rencontrer des compositeurs, notamment Franz Liszt, Richard Wagner, Piotr Ilitch Tchaïkovski et Johannes Brahms. Premières œuvres Il s'installe à Christiana (Oslo), où il fonde l'Académie norvégienne de musique en 1867. Dès lors, Grieg n'a de cesse de connaître les innombrables mélodies authentiques que l'organiste Ludwig Mathias Lindeman avait patiemment collectées et soigneusement publiées de 1853 à 1867 sous le titre Aeldre og nyere norske Fjeldmelodier. Dans le même temps, il s'applique à retrouver les rythmes enjoués de ces ganger, halling et autres springar dansés par les paysans au son de cette curieuse et primitive viole d'amour appelée « hardangfidle ». Aussi n'est-il pas surprenant que les premières œuvres vocales et pianistiques de Grieg portent la marque indélébile de ces découvertes. Tout en assurant la direction de l'orchestre de la Société Philharmonique d'Oslo, dont son ami, le compositeur norvégien Johan Svendsen, va devenir un éminent chef, Grieg compose abondamment : après les Humoresques et les premières Pièces lyriques éditées en 1867, suivent le fameux concerto pour piano et orchestre n°1, les Mélodies norvégiennes et les Scènes de la Vie populaire. Pendant l'hiver 1869-1870, Grieg séjourne à Rome auprès de Franz Liszt qui l'encourage dans la voie qu'il s'est tracée et donne à sa technique du piano une dimension nouvelle. En 1870, il commence une collaboration avec Bjørnstjerne Bjørnson qui rédige plusieurs livrets. Dès 1872, il peut se consacrer définitivement à la composition : en lui servant une solide rente viagère, l'état norvégien le dégage de toute obligation, l'honore et en fait implicitement un ambassadeur artistique. De sa collaboration avec Henrik Ibsen, naît la musique de scène de Peer Gynt en 1874, qui connaît un extraordinaire succès. Une tentative similaire avec le Sigurd Jorsalfar de Bjørnstjerne Bjørnson n'aboutit qu'à un banal et médiocre résultat. Grieg abandonne alors tout espoir de réaliser cet opéra national dont il rêvait. De 1876 à 1885, il traverse une période de crise. Il préfère alors se pencher sur le folklore et pour se tenir plus près de son Hardanger natal, il se fixe en 1885 dans un petit village près de Bergen, Troldhaugen. Là, il écrit une célèbre suite pour cordes, destinée à la commémoration du bicentenaire de la mort du poète Ludwig Holberg. Paris l'accueille entre 1889 et 1890, en 1894 puis en 1903. Son concerto pour piano, que joue Raoul Pugno, et les suites de Peer Gynt qu'il dirige lui-même obtiennent un très bon accueil. Partout où il passe, en Angleterre, en Italie, aux Pays-Bas, en Hongrie, en Pologne ou en Allemagne, ses tournées sont triomphales. Miné par une tuberculose pulmonaire, Grieg s'éteint le 4 septembre 1907, couvert d'honneurs et salué comme l'un des grands bienfaiteurs de cette Norvège désormais libre. Postérité Son génie mélodique, la qualité de son écriture pianistique, l'audace de ses harmonies, qui parfois annoncent Claude Debussy, et enfin son inspiration nationale font de Grieg, toutes proportions gardées, une sorte de Frédéric Chopin scandinave. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.

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